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VOYAGE
longueur est r éduite
a
5? Une sé ri e d'expéri ences
a
di verses températures déciderait de la valeur de celt e
h ypothese.
·
Cependant , la Lh éo rie indique un fait contradi c–
toire ,
a
savoir : q ue la longueur de la bulle ne peut
influer sur la
aleur des parlie du ni veau en parlies
du cercl e ; qu e s i la combure de la surface intérieure
du ni veau éta it parfa itemen t réguliere, ce tte valeur
serait constante, quell e que fUt la longueur de la b ulJ e.
Qu oi qu' il en so it de celte appa rent e conlradictio n ,
o n renfermera dans des limites tres-é troites les er–
reurs du es
a
l'une e t
a
l'a utre ca use, en cal cula o t la
val eur en are des pa rtí-es dn ni veau pom une lon–
gueu r moye nn e de la b ull e. Si , pa r exempl e , la lo n–
gueur d ue
a
la tempél'a t u re max imum es t de 3
a
5
di visio ns, et qu e ce lle d ue
a
la lempératur.e mínimu m
soit ele
15
a
p eu p res, o n ca lcul era la va leur en are
p our un e longueur de
1
o di vis io ns : c'es t ce qu e
nou s avons
faít.
Quant aux ob serva tions d'a ugles horaires , comme
u n pe ti t dé rangement dans les ni veaux n'agit qu'in –
d irectement sur le
résul ta ts, nou
n'avon s pas ap–
pliqué cette co rrection. L'expé ri ence n ou
a fa it vo ir
qu 'il su ffi ait, penda nt q u' un des obser ateurs p re–
nait les contacts , qu e l'a utre rec ti fiat le niveau p lacé
dans le pl an du
erli ca l de l' ast re.
Pendant Lo ute la <l urée des relaches , e t au ta n t qu e
les circo nstances
l'o nt permi s, no us a ons fait des
ob ser vation s ma tin e t soir. De ces deux sui t s d 'ob–
er ati o ns combi née
séparément , nous déduiso ns