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'ITE.
COMPARAISONS D SYMPIÉSOMETRE AU
BAROMETRE.
-11 ;;
Les observations de la pression almosp li ériqu e
faites avec le sympi ésometre ava ien t pour bu t de re–
cherch er ju squ'a qu e! po int ce t i ns tn1menl peu t
et.resubslitu é au baromelre pou r les obser va li ons a la
mer.
On
sail cambi en il es t diffi c il e d 'abserve r le ha–
rametre qua nd la mer est grosse, a cause des grandes
oscill atians de la cala n ne de mercu re; cambien auss i
il est difficile de trou ver une pl ace ca nvenable po ur
cet instrument sur un pe tit batimen l : la nécessité de
lui laisser ta ut le balancement nécessa ire pour qu'i l
reste touj a urs vertical , le peu d'espace da n t an .reu t
di sposer font qu e, sur b ien des petits nav ires, a n est
abligé de se passe r de ce précieux i nstrument.
Le symp iésametre, pa r le peu de place q u'il ac–
cupe , par la facilité de sa lectu re, a ffrirait Jonc de
grands avan tages si les ob ser va tians fa ites a des épo–
q ues différe nt es pouvaient elre comparables entre
elles; malh eureusement il ne parait pas qu e cet avan–
tage existe da ns toute sa rigu eur. Nous avons réun i
· dan s les tabl eaux ci-ap res les moyennes, de d ix en
d ix j a urs, des différences entre les indi ca tions du
syrnp iésometre et c.elles clu ba rometre réduites a zéro :
on voit que ces d ifférences arient. Pour les rendre
comparables entre elles, nous avons can sidér é cha–
cune d'ell es comme un volume de gaz que nous
a von s ramené success ivement a aº de température et
a
la pre SÍOn ele 76a milJi me tres par les for111ulf'S
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l'llYSIQUf: , 11.
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