DE LA BO
ITE.
q ues ; mais, pom les b esoins usu els de la navigaLion, il
n'y
aurait pas lie u de s'e n occuper.
Supposon s un barometre dont le tu be ai t asa partie
supérieure un ra yo n inlér ieur éga l
a,.,
e t donl la cu–
vette ait pou1· rayan int él'ieur R; soit
a
la diffé rence
entre la plus grande e t la plus petile hauteur baromé–
tl'iqu e observées; si Ja co lon
ne
barométriqu e passe
de la plus grande
a
la plus petite h a uteur, la Slll'face
du mercnre d e la cuve tte, c'est-a-dire le zé ro de l' ins-
1 , ]
.
,
ar•
trume n t , aura un e ep acemen t ex prime par
R•;
on
pourra clone, si le barometre est gradu é pom· la hau–
teur moyenn e de o'°,760, trou e r qu ell es sont les cor·–
rections a faire aux lec tures baro rné lriqu es pou r les
ramener
a
un niveau consla nt : ces d ifférences sernnt
généra lement assez pe tites' et pounont e tre négligées
daos les observations ol'din ail'es d e la naviga tion .
Pendant le
oyage d e la Booit e, la plu s grande
hauteur baromé trique observée a é té d e 77 5 millimet. ,
e t la plus petite de 732 ; diffél'eu e :
L13
millimet res.
En supposant un tu be baromé triqu e de 6 millimel.
<le diame tre e l une c uve tte d e 6 centime tres, la diffé-
. rence d e
43
millimetl'es observée entre les lec tures
ex tremes du barometl'e ne donn e rait pas un d emi–
millimetl'e po ur le d ' placement du ni veau d e la cu–
veLte, ou <l u zéro d e l'inst rumenl.
Vo ici les tableaux <l es comparai so ns d u sympi éso–
melre et Ju barome tre; chacun des nombres qui
'!
so nt donn és e
l
la moyenn e de
1
o journ ée, d 'obse r–
vations ,
Pª"
onséqu cn l d e
2. Í¡ O
obsc rva li o ns :