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r.
.Mu s.
PHOQUES.
Phoques
pr9prcment dits.
Le Phoque
a
museau rielé.
20
VOYAGE
adplirablement écarret ses
rivanx ; mais
il devait la
tranquillité actuelle de sa passession
a
ses nambreuscs
victoires : et de - larges cicatrices avaient ' gravé ses
explaits sur sa peau.
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est tres-facile de
les
tuer, car ils ne peuvent ni
~e
défendre ni
s~enfuir;
ils sant si laurds qu'ils ont beau–
caup de peine
a
se remuer' encare plus
a
se· tetourn er ;·
et il faut seulement se garantir de leurs dents qui sarlt
tres-forces , et dant ils paurraient blesser si an
les
apprachait de
face "et de trap pres. L e Cammadore
ANSON
en
fü
la
c~uel!e
expétience : un Matelat était
tranquillement aGcupé
a
écorcher un jeune
Phoque '
larsque la mere de cet animal se jetca sur !'h.amme, sans
qu'il l'eut
aper~ue,
et luí prit la tete dans sa gu eule : la
marsurc
fut
tell e
qu~
le Mate!a_t en eut le crane fraca ssé
en pi
d'
~
ndro" , ¡er
lqu s sa' ns que l'an put
·e,
maurut
eu
e jaurs pres.
s Ao1p
bies ; ils passent
t tou,-r !'Ifver
a
terre; c'est
ern
·-e'r
airo
qu'i
>
tra aillent
it,
la propa-
garían de. !' · pece , et que les Femelles mettent bas : .
l eurs pa.rtées sant de deux Petits
a
la fois : ces animau x
tettent camme taus Igs
Plioques
,
et ils sont des la
naissance, dit le R elateur d'
Anson,
de la grañdeur d' un
Veau-Marin
adulre ( d'un
Plioque comm1111) .
La nourriture
ordinaire.deces Amphibies est le poisson ;
il s
y
joignent quelques
M anclzots
quand ils en peuvenr
attraper; et pendant tout le temps qu'ils sont
a
terre'
il s ne vivent que de l'herbe qui croi.t sur les bords des
caux caurantes : le temps qui n'est pas employé
a
paifre,
ils le passent
a
dormir dans la fange
ou
ifs aiment
a
se
vautrer.