SUR LES T ERRES D E DRAKE.
353
BROSSES , ce qui est
la
meme chose que transcrire
LOUVENCOlrRT.
' " Cé
fut le
6
Septembre (
1
578)
que nous sor–
tlmes du DÉTROIT pour entrer dans la MER DU Suo,
autrement PACIFIQUE.
" L e 7 Septembre, nous avons dérivé par une grande
tourmente envíron
de.uxcents Úeues et plus en Longi-
tude, et un <legré du coté du Midi.
.
" Étant arrivés dans une Baie, que nous avons nommée
LA 5ÉPARATION DES AMIS, nous dérivames au 'Midi
du DÉ'fROlT cinquante-cinq degrés et un tiers ; et en
cette hauteur, nous allames jeter l'ancre
pres
d'une
íle
OLI
íl
y
avoit de bonne eau douce, et des herbes de
sínguliere vertu ,,.'
p
usqu'a présent DE BnoSSES a copi.é
mot pour mot la Traducüon de LoUVENCOURT. )
ce
Le
G
' néral nomma
e
s
lle ~
ELJZABETHIDES, du
nom de
1
R
' NGLETEi
R •
u
e
e P.artie ,
Australe que
1
t
n Gont'n nt ,,{!'es
qu!un
amas d'iles et
ond D ét
oit
~
1>
us ll&io
'est la
grande M cr
en
Í'Fé
de e
q
' '
n
auroít
cru "·
(leí,
cen'cstplus LoUV Et'ICOU RTquia.parlé: on
reconnoit que DE BROSSES
y
a fait usage
?e la
R elation
de fLETCHER.)
»
Apres ceci, no us sommes allés dans une autre Baie,
ou nous avons trafiqué avec les Naturels.
" L e
20
Octobre, ayant, par un vent propre, repris
notre route vers le Nord, nous avons découvert
Hes, en l'une pesquelles
il
y avoit un si grand n
e
'
Hist. dts Navigations aux Terres Australu,
Torne
J.cr,
pagc
17 ~
et
suiv.
-
Le Voyage
curieux,
&c. traduit
en
Frans:.,
par
LOf1•rncour1,
pages
J.7
'et
.i.8
de l'Édít. de
1641.
5•
z