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354

RECHEKCHES

d 'oiseaux

qu~il

es[ prcsque

impossible de

le croire.

Nous en avons fait l'exp érience.

Ces íles sont

a

huit

d~g1·és

du Tropique du 'Copricorne

».

(leí

se termine le

Récit entier de LOUVENCOURT et celui de DE BROSSES,

sur ce qui concerne les Terres dont la recherche nous a

occupés. )

On conviendra qu'il scroit bJen impossible _, d'apres

ce Récit , de se former aucune idée de la Route de

DRAKE et de la sit11ation absol ue et relative eles Points

ou

íl

a mouillé, et des iles qu'il a rencontrées. ·

lJ

y

est dit que les iles les plus éloignées' sont

a

huit degrés

du Tropique :

elles seroi nt done

a

trente-un degrés

tt

dmzi

de La.tirnde; ce qui est un ré sultat absurde qui

paroit n'avoir. pas échappé

a

DE BROSS ES; car,

a

la

suite de

a Nauation qu'on vient de lire

>

prenant

la

¡:raro e, comme Rédac

ur,

au sujet d ces dcrnieres iles,

il d

.

, d'a\Il eurs beaucoup

ecueils de BAR LA

Y

un se1 s

ID

t

1

e en.

a,J¡s cct éndroit, !;un

des plus .import ns de la. Namrtion. DRAKE, y est-il

dit, ayant ensuite naviguot vers

le Nord

,

découvrit

trois llcs, dans la plus éloignée desquelles

il

observa

qu' il n'y avoit que

2.

heurcs de nuit

~

le Soleil étant

a

huit degrb du Tropique du .Capricorne

';

et

il apprit

des habitans

>,

qu'il n'y a pas de nuit du rout I'orsque

e n'est que 7 degrés dans la Refation de

Flmlur.

• Les Pécherais du •temps de

Dralu

paroissent bien

plus

snvans que ceux de

B o11gai1111i//e

et de

Cool< :

mais en admi–

rant

leur éru.dition en Astronomie, on

ese

c!hcore ( tonné"

qu'ils pussen1 se ..faire si bien entendre des Anglais. •