RE CHERCHES
la panie Méridionale), on voit qu'il n'a jamais mis en
coute que son Archipel d'ELIZABETH' qu'il fait com–
mencer
a
la Sortie du D étroit et qu'il termine aux iles
Jes plus M éridionales, a 5
6
degrés de Latitude , ne
format, avec le Continent de
!'
Amérique, le Détroit
que MAGELLAN qui le découvdt, avoit déja reconnu
n'etre formi! au Sud que par un amas d'iles, un Archipel
traversé par des Canaux dont quelques-uns lui parurent
assez. larges pour les comparer au D étroit meme par
lequel il étoit entré dans le GRAND ÜCÉAN ' . L 'opinion
de D
R
A¡¡ E
sur
cette circonstance de Iocalité est
om e t quelques-uns ont
e u devoir les p r e
rde Polaire Antarctique .
Je sais qu'1 s se sont appuyés sur ce que FLETCHER
-
fait observer que, tandis que D
R
A
K
E étoit
a
l'ancre
sous l' ile la plus M.éridionale de ses. ELIZABETHIDES,
ji
n'eut que
deux lzeures de
11uit
le 8 Octobre
?
le Solei l
étant
a
7 degrés du Tropique du
Caprícorne;
et qu'il
en concluoit que le jour ou cet astre parcou rt le Cercle
meme du Tropique,
la nuit doit étre tres-courte
daos
cene lle, et
que méme
il
ne doít point
y
en avoir du
tout.
Cette conclusion prouve seulement que FLETCHER
et DRAICE
fui - meme n'étoient pas Astronomcs. : avec
• Voyez la Non: I
a
la suite de ces
Rec/urclus,
)