D E M A R C
H
A N D.
345
Mar
s.
manteau, d'un
noi~
ou noir atre ardoi sé, luí couvre
son Iarge dos ; tout le r este du plumage est blanc: son
bec, fort et robuste , long d.e
tr~is
pouces et demi,
e ~t
1
3
·
jaunatre avec une tache rouge
a
l'angle saillant de
la
GoÉLANDS.
mandibule inférieure : la paupiere est d'un jauneºaurore:
le
Goéland
les pieds, avec leur membrane , sont cf'un e couleur de a
Manteau rioir.
chair blanchatre et comme farineux '.
»
Le cri de ce grand
Goéland
(
BUFFON
en a gardé "
un vivant toute •une année) est un son eríroué,
qua,
qua, qua,
prononcé d'un ton rauque et rép été fort vite;
mais l'oiseau ne le fait pas entendre
fréqu emm~ nt;
et,
lorsqu'on le prenoit, il jetoit un autre cri douloureux
'
"Le
Goéla11d
a
Mantrau
11oir,
suiv;mt
1'E11cyclopédie
métho–
dir¡ue,
a un pcu plus de deux preds de long et cinq pieds
d'envergure : un manteau d'un noir ardoisé lui couvre tout le
dessus du corps depu is ie haut du dos jusqu'a !'origine de la
queue; les couvertures du .dessus des ailes et les pennes sont
de la meme co ul cur, n:iais les pennes sont terminées de blanc;
cettc derniere couleur est celle de tout le r.este du plumage: la
paupiere csr d'un jaune-safrané : le bec est jaunatre; on
y
voit
deux
~aches
en - dessous sur les c8tés, pres de l'angle sa íllant ,
l'une noire, l'autre rouge : les píeds .sont d'une couleur de
chai r blanchiitrc , les ongles noir s
w,