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179
r.
Mar
s.
2.
ALBATJlOS.
VOYAGE
a
l'Est du M éridien de
PARIS'
ce
on prit en un seul
jour
a
l'hame~o n,
amorcé simplement avec un mor–
ceau de peau de mouton en
laine , neuf
Albatros
dont
quelques - uns
avoient enviran dix pieds
( anglais )
d'envergure ; le plumage Jies plus jeunes paroissoit fort
mélangé de plumes brunatres, tandis que celui des indi–
vidus qui avoient acquis tout leur accroissement .étoit
presque entierement blanc ; seulement leurs ailes éioient
noiratres, et les plumes scapulaires étoient rayées et
parsemées de lignes pointill ées de noir '
».
G.
FoRSTER
semble done ici reconnoitrc que la différente couleur
du plumage tient uniquement
a
la différence d'age des
individns.
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A.IN!f-l?ÁUL
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f";e~~ul.!~Ouest
d
I'H
d'A
uers
éle
Lat·tuC!e Sud, e
a
enviren mille
lieues__,,__.,..,.,._s-t du Cap de
BoNNE-ESPÉRANCE :
il
y
vi t les
Albatros
ras sembl és en grand nombre , et
cr
la
plupart
>
est-il dit,
sont entierement /
Jlan.cs>
d
l'exception
de l'extrémité de char¡ue aíle;
il s s'y trou vent melés
avec
les
Quebrantahuessos
>
les
Silver-Birds
[
Oiseaux
d'Argént
2 ],
les
M otlier-Carey' s Chícken
[les
Poulets
'
G. Forster's Vo;•age round rhe World.
Vol.
J.cr,page 87.
. ' J'ignore quelle E'.spece d'oisc::au est le
Silvtr-Bird;
ce mot ne
se trouve ni dans la
Cyclo¡)(l!dia
de
Cl1a111brrs,
ni J ans le
Dic1io11,
of
Am
and
Sciencrs.
(V
oir
les
Nomenclatures
angfaises. )