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D E M A R C H A N D.
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'I'AFRIQUE
jusqu'a celles de
I'AMÉRIQUE et de
la
NoUVELLE-HOLLANDE : on ne l'a jamais
VI.\
dans .les
Mers de l'Hémisphere Boréal , non plus que le
Mancliot
( dont il sera ci - apres parlé ) , e.t quelques autres qui
parnissent erre attachés a cette partie maritime du G lobe,
oú l'Homme ne peut guere les inquiéter, oú merne ils
sont demeurés tres - long - temps inconnus. C'est au–
dela du Cap de BoNNE - EsPÉRANCE, vers le Sud,
qu'on a vu les premiers
Albatros;
et ce n'est que de
nos jours qu'on les a reconnus assez distinctem,ent pour
en indiquer les Variétés qui , 'dans cette grosse Espece,
scmblent etre plus nombreuses que dans les autres Especes
majeures des Oiseaux et de tous les Animaux.
" Avec la force .de corps dont il' est pourvu, I'
Al–
batros
sembleroit devoir erre un oíseau guerner; cepen–
dant on ne Bous di pas qu il atraque les autres oiseaux
qui croisenn av c lui sur c s
vast~s
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,·
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pa'roit
meme n'etre qu
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as meme les nnds
-p cf~ssons'
mesures sont données en pieds
d'A11glettrre;
et la premicre
r 'pond
a
9 pieds
6
po11ces de
Fra11ce
,
et la seconde ,
!?'
'J
pieds 4 pouces
.¡- :
on a vu que, des ·deux
A!6atros
~bscrvés
par
Rohlet,
!'un avoit 9 píeds , et l'autre 9 pieds
4
poúces
el
'envergure.
' Autre Oiseau aquatic¡ue dont on trouvera la Description
dans la suite de ces No tices.
' Elles tachent de l'attaquer par-de:Ssous le ventre;
il n'a
d'autre ressource que de plonger son c.orps dans l'eaú
i
et
1l 'opposer
a
son ennemi un bcc formidable dont la vue ¡¡e
manque guere de le faire reculer.
s a
1
79
r.
.Mars.
2..
ALBATROS.