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.D E M A R C H A N D.
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usages ,
les
trois Regnes de
la . Nature;
to
utes
les
Sci~nces,
on peut fe dire, ont travaillé et travailleni
sans cesse pour son utilité : n'ont-elles pas des droits
a
sa reconnoissance
!
ne doiyent-elles pas attendre de
lui que, par un juste retour, if emplo!ra son _ze{e., ses
moyens , ses Ioisirs, pour favoriser leur avancement et
contourir
a
Ieur perfection
1
'
Voyage de long
cours,
S!!
trouve toujours compris un offici'.er
de Santé; et le N avigate u_r ,peut le consulter et apprendre <l_e
lui les termes techníg!.les qui renqent la descripúon d'un animal
moins diffuse et plus intelligjble pour le Zoologiste qui doit
en
rafr.r:
usage.
·' ' Les Marins qui 'lisertt'ayec plaisir les R'elations des Voyage
ele ·Mer ( et To · ne peu.
~
trop,
pour leur instruction
,
leur
)
,
d
ºy
'iit.
'tre
u'ils
seroient souvent
ex:i.ctes
,
toutes le
iss~
s ,
&c.
qui se trouvcnt ré
a plupart des
Voyageurs ancien /
· n exe
te
Dampler
:
'ig~lOranc
a écrit
1es unes·;
l'amour du mervcille x a embe i les autres ;
0 11
vouloit étonner le
Lett~ur
,
ou l'amuser : nos Compilatcurs
ele Vbyages ont !tradu'Ít ce.s · Relations sans examen
,
s'a ns cri–
lique ; et par-tout l'c;rr.eur
s'y
trouve Jmet"ée. et confondue
avec la vérité. N ot':Js·polivqns dire que ce n'est que dans notrc
siecle que l'on a commencé 'a voyager utilcr;nent pour l'accrois–
sement de ·nos connl>issances en. Histoire naturelle : tout n'est
copcndant pas oonnu, ou ne l'est pas encorc 5ien ; et je ne
prétends pas garantir la parfaite exactitude , sur tousº !es points,
de toutes les Descriptions qu 'on va Jire; je puis sculement
assurer qu'elles ont" été puisées aux meilleures sotrrces : Je·s
Voyageurs a venir pourront en vérifier chaque partie ; et
a
cux apparticnt de les rectifier. Pour moi, je me croirai bien