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O Y A G E
aimant ' e
toit
de trente degr
' s
v ers Je no,rd–
-ouefi ,
&
fuivant
ces
Nav i~·a teurs,
elle eíl: de
CotedeGal-
trente-tr
is deg rés
tout
a
terre
de la COte de
lhamfi¡ucs.
Gallharn~
ues. La brume opinia tre nous em.-
p choit de v ir cette cC)te,
&
nom parlames
un batiment
qui Favoit vue ;
íl
eíl:imoit
avoir fait depuis ce ternps dix lieues dans l'eft.
1
Cette terre de Gallham[ques eíl:
fr~quentée
tous les ans par les p echeurs d e baleine .,- qui
l'ont élongée depuis le foixante-feizieme juf–
Décroicqui
ques au foixante-dixieme degré de latitude. 11
l
~pa re
du
va
la
un détroit qui la
f
épare du Gro·· nland
GroeulallJ.
J
'
&
qui a plus de vinCJt-cinq lieues de largeur,
car on ne eut pas v
i~
les
1
eux cotes.
Quoique l' n n'ai t pas encore paífé par ce dé–
troit, l'on
a
tr · s-port'
a
croire
que
c'en
eft
R
ifons de
un qui communi que
·':!.
la baie de Baffins:. Les
croire qu'il
h ·. .
1 b
J ·
l ·
communique
p
e ems remarque nt
que
es
a emes 1a1-
:l\'CC
les baies
'
'
l'
' d 1 b · d B
tr.
d
de
Baffios
&
ponn es
~
· n ree
a
a1e e a.rnns , ans
d' Hudfon.
l
enfo~cement
e l'Hle aux F emmes, fu ient·
ve
s
cette I e ,
ou
la rner s'étend au loin ,
l
ns
que l'on pui.ífe d ' couvrir
G
les terres la
t
n
inent.
Le
baleines que l'on rouve
a
la
c " te de Gallhamfques, v iennent de .l'oueíl:-·
fod-oueíl:,
&
font
de la
mem
forme
&
grnf–
.fi
ur que .e Hes du détroit de Davis. L' o n n'en.
t:rouve point for la
cote ell:
du Groenland ,