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n.
1
)
z
trop
voiíine des bancs
de
glace
de
l' ouefi.
Le
.peu
de
ftabilíté des glaces, lorfqu'elles font
accumulées
&
ferrées, leurs évolutions
&
abor–
dages qui les caíl;ent
&
les féparent, les
ma–
nceuvres que l'on peut pratiquer pour s'y ou–
vrir un
paífage'
ou pour
fe
mettre
a
l'abri
des
dangers qu'e les préfentent,
font
que je ne
regarde pas un voyage au Pole comme
im-
poffibl~.
La patience, le travail,
&
une grande
Poffibi tirt
· · d l
· ·
l
l
d ·
du voyage alil
prauque e a nav1gatton
e
es
g
aces, 01vent
Pol<:.
accompagner ceux qui feroient une pareil e
entreprife. Les obíl:,acles que nous éprouvarnes
dans la fuite , les évolutions des glaces
que
nous reífendmes,
&
les reífources dont nous
ufames ' rendroht peut - etre mon opm1on
plaufible.
La navigation pratiquée dans les glaces
pendant les mois d'Avril
&
de Mai ,
&
meme
a
la fin de Mars
a
1'
lile de Jean Mayen , t emps
ou
les rivieres
&
les ports font encare gelés
a
une
tr '
s-grande épaiífeur , me firen t fai re at–
tention que les Ruífes étoient la
r
ation la
moins
a
portée de fai re de longs voyages dans
les mers
g~acial es ,
&
d'y
faire des découvertes.
Le peu d' expérience que ce voyage m'a don–
né la fitu ation des, mers de la Sibérie, genées
a
l' efi
&
a
i
O' teíl: !..,ar
la Nouvelie- Zemble
&
....
'
K
iv
Oóíl:acles
aux décou •
vertesdci
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