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VERs LE
PoLE
nu
NoRn.
1)7
Fius connus ; mais en général, lorfque
l'
on
va au mouillage ,
il
faut
fe
méfier des revolins
'des momes.
L'on trouve
fur le
bord de lamer des fapins
de dérive que le courant y apporte de l'eíl:;
ils viennent apparemment des ·cotes de la La–
ponie
&
des Samoyedes ; ;'en avois
trouvé
parmi les glaces.
Les Ifles de Spitiberg s'étendent
du
nord
au
fud depuis le foixante - feizieme degré
trente minutes de latitude, jufques au quatre–
vingtieme degré neuf minutes. Leur
Ií1e
de
V
orland , qui
e.íl:la plus
a
l'
ouefl , eíl: par
fix
.degrés quarante-cinq minutes,
&
les Iflots les
plus
a
l'
eíl: font par vingt-neuf
&
trente mi–
nutes de longitude ., également orientale du
méridien
de
París.
Leur f9l efi: formé par de hautes montagnes,
Leur
fot
hé..-
rií!é de mon•
au deff
us
defquelles s' élevent des mornes poín-
tagnes de gla-
tus ;
les terreins qui ne font pas
fi
élevés font
ce.
hériífés de roehes énormes. Le premier afpeB:
de ce pays , .les couches de roches rangées de
can ou perpendiculairement , les rochers
im-
menfes, éboulés , foit au milieu des monta..
gnes, foit dans les terreíns moins élevés, pour-
io.ient
faire
croire
qu'il
a
·eíf
uyé quelque
trem.-.