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!laleines•.
Licoroes
de
mer ; leur ·
defc.ription.
t
42
\T
O Y A
G
E
baleines ,
&
l' on en prit trois; celle·s du nord
étant plus petites que celles de l' ouefl, je
differe de parler de cet
ani~~ll.
·
Nous v.lme.s auffi beaucoup de
li~orn es
de
mer.
Elles
ne
fe
tiennent guere dans ces pa–
rages que vers le quatre-vingtieme dev é de
latitude ; elles paroiífen t amies des baleines ,
&
l'
on voit les unes
&
les autres
a
peu pres
dans le meme lieu; elles fouffi ent
ébalement
a
la fur face de l'eau; les plus grandes
Ont
en–
viron quinze pieds de lo ngHeur ; la cou eur
eft
grife'
melée de noir'
&
quelquefo is tigrée;
la tete
n'
eíl: pas groffe
&
longue comme
e
elle
de la baleine , mais petite
&
ronde comme
celle de la vache marine. Les males ont au
bout du mu feau une come horizontale de fi x
a.
fept pieds de longueur' qui eft'
a
fa
na1f–
fance' de
la
groífeur de la jambe'
&
qui '
a
fon
extrémité , n'a pas plus de groffeur que le
doigt. Elle a la blancheur
&
la
dureté de
, l'ivoire lorfqu'elle efl: fourbie ,
&
elle a des
cannelures dans
fon
contour, en forme de vis
alongée.
Po1fíans
a
íabre ;
def–
c;ription,
Les poiífons
a
fabre
fe
voient
auffi
parmi
ces glaces ; mais ils quittent plus raremen
t
leurs climats gelés du Pole. Ils ont vjngt-trois
ou vingt-cinq
pieds
de
longu~ur;
leur cou-