'i!' T
éúRi'EUSES.
8g
-été
détruites ' en réparer d'autres ' et les
pourvoir de tout ee qui
e~t
absolum·ent né.
cessélire , rassembler · sur1-- tout _nos pauvres
Chr~tieus,
que cette guerre a dissipés;
~-
la
guct're succédera la famine , qui est inévita–
ble. Les Campagnes sont désertes; elles ont
été fo·uragées; les Peuples, revenus dans leur
demeure ,. n'
a
a
ron
t
point. de quoi les ense_–
m:encel';
a
n'y aura done ni riz
'ni
d'autr~s
- grains. Dieu
veuille
avoÍL' pitié de nous.
Ne
,nous o.ubliez -pas, l\1adame, dansvosferven..
tes prieres.
J
e suis avec beaucoup
de res...:
_pect, etc•.
EXTRAl'rS
De quelques autres
Lettre~
du Pere
Cal–
mette, au Pere du Halde ..
I
~
ne
me
reste p1ns
pour
_satísfai.reamt
questions que vous m'avez
f:~ites
, que de–
voús donn·er une 11otice du
Salc(gramam
;
ou du caillou vermoulu de
la
riviere
Gan–
dica. Cette -riviere de l'Inda ustan descend
des montagnes au nord de
Patna,
et se je tte
dans
le
G:inge pres de cette Viíle. ·Le
Gan–
dic;'l n'est pas moins sa,cré pour les Indiens
_que
le Gange;
l'un
et l'autre ont été l'objet
de
leur poésie·, et sont le terme de
leurs~
pé–
lerinages. Voici
ce qu'il
y
aCle singulí(;r dans
le