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cm:t

c:le gr

~

is

tout-autour du vifagc

qui

rcpr

C.

ntoicol

de~

tuy uX' d'orguc.

Aujourd'hua l·s cmmcs n

font odfécs qo'aYc

de punes

co.Jfuru

qui, quand

11

font mont

, ne

{ont

pa~ pi~

large que la paume de la main;

11!5

hoveu qui fom lri

>

font le rc:lle de la

<O<jfuu.

On

11ppc:lle ectte

f~c¡on

de co':fñare ,

m-arricre.

L'on f

a ir auffi des

u<./furu

de _gcai monto! fur du

61-de-l.ti

ro n, que

1'

n apfJ

tic

<ocJ!uru en comuc,

fe

roit en ore i i une longuc aff'air<: de nomen·

lawrc, que de rapporrcr toutcs IC$ v, i tés que le

U>ijfures

o nt e:u

·

tou~

les noms qu 'on 1 ur a o nnés

(cl&n

ce:~

v

riét s.

Q.

ALIT

,

f.

.

(Thlol.)

terme qui e prime

le raporr qui fe rcncontre nt rc pluficurs hofes cga–

lc5.

.Voy<{

EGALIT .

La d

rinede l'ésliC.

Ca

holíque touchant la Tri–

nité , cll que le

ib

&

le

. Efpnt font

o- gaux

au

P

re. Les Ariens nioienr 1.

co-lgJ!ttl

des P rfonnc

divane~ .

Yo;'<{ ARrE .•

t;•

RtNITÉ.

(C)

(1[1.

IR!

E

uu

<IELÉ,

(Céog.

anc.)

contré de

yrie quí omprenoit, fclon le uns, la vallé" qui

s'étend entre le Liban

&

1'

ntilib n; fclon d' utres,

le m ·m efpace , avec le: pay de D amas ,

&

ce: qui

c!l:

entre la yrie propre , la Phénicie , & la P

1

:fli–

ne.

11

y en a qui ne

1

llornenr qu ', 1'

rabie

&

I'E–

gypte.

Elle

fe nommc: aujourd'hui

Bocalba/bu.

U A

E ,

m

.Anatomic,

fe dít d'une arrerc

qui provic:nt antéricurcmcnt & un peu

gau he du

tronc dcfcendJnt de l'aone daos l'abdomen, vis- -

vis le cartilage qui

cll:

entre la dcrníerc vertebre du

do

&

la premicrc de> Iomb

.

l"~q

ORTE, An–

T RE,

&c.

Elle produit d'abord aprcs fa nailfan e deux pe–

tire aneres, quelqu fois une fculc, qui fe di1lribue

droite

.'l

gauch du din hra¡;me : elle communi-

quc avcc les diaphragmat

1e

lupcrieur

;

' pcu

apr<:S elle donne une bra

n he q

u'on appellc

arurc

coronairc jlomneliique,

ou

aru.re

gJjlru¡ut

fup(rie.urc,

ou

nrurc

gajlrit¡ue:

in ontincnt

aprc~

elle fe cli

ife

n deu autres branchcs ; )'une · droite, nomméc

ar–

tcrc

hlpatit¡uc;

l'aurrc

gau he

1

appellée

artm

fp/1-

nit¡ue.

uelquefois elle {e di ilc

tour~·

oup en es

trois branches.

oye

ha mu

.i

!<Ur arti le ,

HtPATI·

Q

E

6- .

(L)

at:Lt

QU

,

f. f.

(McJcc.)

la

caliat¡ue

ou pour

micu • parl r

l

l'aj[<filon

cas!tat¡uc

,

la

pajlion

ccrlia-

9"',

efi une elpe e de

O

u de v ntre coptcux

1-é–

qttc:nt dans lcquel l'on rend par l'anus le alimen

digér

,

mais

n

e

du chyle qui s'y trou

con fon-

du .

Hippocrnte ne fait aucune mention de cette ma–

ladie. i\ retée

ell

le premicr armt les

recs qui en

ait donn

la d

riplion, &

rr

-exa ement

l.

JJ.

cJa.

vi i.

il app llc cu-. qui n font aiTlig s

x••AI.._,.l,

lius Aurelianu

le nommc

vtmriculofi,

'

indi–

qtte la maniere de le guérir

liv.

1

r.

cJa.

iij.

M..tis

e que

Lfe appellc:

malJJic

!iJ'fU<

l'cjlomac ,

&

qu'il d

rit,

hv. 1Y. h.

xij.

comme accompagn

de douleurs dans le b

ventre d'un

orúüparion

fi

' -lolente que

1

ms n •

pe

u m fonir d'un

id aw

• trémit

d'une grande diffi ultc de

lpirnr

íl

une maladie

alcmcnt

ditf.~reme

de

llc

dom parlent Arct.!c!

liu~

urcli nus

de

1

n '

t.re.

uclqu

m dcrnes pr ' tendent que la paffion

ca–

/t..:.;"'

la lient rte oe clid' renr abfolument qu'en

d

•; epcndant il fuut en ore '3JOÜter

tte dif–

r

n e que

d:m~

13

ltenteric e

.dtmens lonent

r.

n:~'r'"

crud ;

qui indique q

r

·alomac n·a pü

• · <lífii

dre ,

a

u lieu que daos la pallion

c.rli.z.¡uc

le

b

·le

11

n a

1

e

crcmcns :

e

qui montre qu •

1'

al

mll

bJen la forc d" bro c:r,

de

drg

·r le

>

•lim ns m · qu 1

-~

au.xla e

1

¡;

l.md

C<»:L

in1cltinales, foot obllruécs, en forre que le hyl

n'y pcut palfer.

Fr ind

ifi.ingue la pailion

caliw¡u<

du

flux

chy-

1

u.:; mais cctte clillinaion

ll

a

mon feos trop

ra ..

finée: car foi t qu

l'obtlruaion procede

d~s

vai(.

eaux lallée ou des glandes intefi.inalcs , qui ne

fournilfcnt pas ane.. dc lymphcpour d la

y

rle chylc

de

l'ellomac ,

&

le mcttrc en ' ta t de paffi r dans 1 s

aifi'eaux

ll.!cs,

iJ

en rcfulrcra to!l¡ours le ml!me

eff'c~;

le •

e fcra précipité hor du orps av

e le

mattcres

f

cales.

Ainfi le danger du mal fe trouve d:tns

la

grandeur

de l'obllnt ion, & dans fa. durée.

La

cure onúile

don

employcrdans les commcn emens les fcco ur:s

propres ;\lever les ob!l:rullions des vailfeaw lall es,

d s gla ndes d

inrellins ,

&

de elles du mefcntcre

qui peuvent

étrc

atrea

cs.

·

Pour pro urcr et

lfet

iJ

fuut d'abord mettrc en

ufagc 1

purgalifs le¡;ers donn

en peúte quanlÍt

mat

pluúeurs rcpn es; c:nfuire 1 s r olmíf , les

apéritils , tant inté:rieurement qu'en appli a.cions ex–

tcrieur

~

fur le ba -vcnrre ,

a

e de &equemes

fric–

lions

~·on

y joindra.

Plúlque le

filL'<

de vemrc regne daos l'affellion

ca–

litu¡u< ,

ne feroi r-il pasa propos de

l'arr~tcr

par les

mcilleurs a!l.ringcns?

ullement: il nc s'agit pas i

i

de rcfferr r le glandes imellinales , ni le orilices

des ailfcaux la

él

es; il s'agit de les d fobtl:ruer. Mais

en change

l'ipccacuJJnh" ,

les anümooiaux donné ·

perites dotes nc répondcnr-ils pas

l'indi ation du

mal ? c'cft ce dont

n ne peut guere dourer. T our–

ncz roüjour

les remedes o ntrc la caufc de la ma–

ladie, & vous n!uffirez en Mede ine omme enbroa

politíquc.

1

i vous dctruircz la parelfc pa r la varu–

t

, par le point d'honneur ;

1:\

ous ne

vaincrC7.

qu par l'appas du gain. T ant6 t le flux de ventre de–

mande des refi'crrans , & rantot des defobftru ans ;

l'nppl'calion des remede mal di · éc gftte tout.

A rt.

Jc

A-1. le

~cvahcr

DE )A

O

RT.

<ELI

PEX,

(Mytlí.)

furnom d'Apollon, aint.

appellé Rome de la lla ruc qu'íl a oir dans la on-

teme région.

ttc llarue regardoi1 ou le cicl

,

ou

le mont

C~rtius.

ULLIU.

,_(

JONs)

F cjl.

anc,

le monr

~rliu

;

une d

fept mo ntagnes de Rome, ainíi nomm e

d'un

C~rlius

ou

les

ibenna, cncfde Etntriens

_,

qui fccourut Romulus o u T arquín.

'ell aujourd hui

1

mont aint-Jean.

·

<1EL

,

f.

m.

(.Myth.)

dieu du paganifmc:

il

toít époux

r

lil de la T erre;

iJ

eut de la mere

~mrne , Rhéa,

1'0

éan,

les T iraos. aturne romplt

1· chaines dont

iJ

avoit ét chargé par fon p re , dc!–

livra fe

frcrcs & fa fccur,

• coupa les relli ules ;).

<rlus.

D e ces tefli ules coupés naquírenr les

ym–

phes

les

éans , les Furie,,

&

la mere de I'Amour.

E E,(.

f.

(Anatomit.)

eroüre ordinairement

blan he

dont le fang ell quelquefois recouvcn

apres la fai r;n e dans le vailfeau ou elle ell f.üte.

Le

mot de

coénc

pourroit bien avoir été form de

kcnn

qui daos la langue du pays

d~

Galles liJ:nilie

peau cuir,

d 'o

u

vienr le terme Anglou

slun,

qw

v

ut

dire la meme hofe.

La

coinc

fi

ettc humeur concre e du fang refroi–

di

&

en repos, orm • • fur

{;

fu

c;ñ

!e

en un efp ..

e de croüre orclinau-emcnt p le , epaJfi'e,

&

tenae •

rfqu

·on a rue du fa n , d'une pcrfonne qui cll a ..

raquéc d'une inflammacion

iolenr , on ap

r~oit

le

phénomene dont nous " nons d

e pJ

rler,

&

qui

dl

Io n lurprcnanr. T o ut

le

monde

l.ur

que le lang ue

l'on

re~ott

dall!> un

·a;

au mefurc qu'il fort de la

, , ine ,

(j

tigc auffitót apres

fe féparc en d u

f'ar–

u es ; !'une blan

h

-jaunlitr appcll e

flrofiu

;

1

au-–

tr roo e qw llonc ordinairement

dans

La

premien:

omm

~

ilc :

rnai.s

diLDS

1a

plüpart

mabdi