Noms des A uteurs , &e:
X'f'
M. MARMONTf:L nous a donné pour ce Volume C o.MÉDIE
&
C o M! Qui!;
&
pour le
Volume fuivant C RITIQUE; articles dont nous croyons que les bons juges feront fatisfairs.
I1 nous en fai t efpérer pluíieurs autres dont nous rendrons compre.
M. l'Abbé LENGLET nu FRESNOY a bien voulu revoir les anides qui concernent
l'Hi–
fioire,
&
nous en a méme donné quelques-uns en entier.
M . BoucHAUD, D oél:eur aggregé en la 'Faculté de D roit,
&
!'un de ceux qui font le
fllu~
d'ho nneur a cerre Faculté, a fo urni l'arricle CoNCILE , que nous exhorrons fort a lire.
M.
VENEL ' a qui les deux premiers Volumes doivent déja beaucoup' s'efi chargé de
tous les an ides de Chimie , de Pharmacie , de Phyíiologie ,
&
de Medecine , qu'on trou.
vera marqués d'un -(
b).
.
,
M. d'AuMO T , D oél:eur
&
P rofeffeur en Medecine dans l'Univeríité de Valence, nous
a donné plufieu rs arricles de Medecine, a la fin defquels on rrouvera fon nom.
M . Bou iLLET, Secré taire de l'Académie de Beziers , D oél:eu r en Medecine de la Facuité
de Monrpellier ,
&
Profeíle ur de Marhématique, nous a donné , conjointement avec
M.
fon fils, quelques arricles généraux
~ur
la Medecine;
M. BoRDEU, D oéleur e n Medecme de la Faculte de Montpellier
&
Medecin de Paris
nous a donné J'arricle CR ISE qu'on trouvera dans le Volume fuivant.
~
M. BARBEU o u BouRG, D oél:eur en Medecine de la Faculté de Paris , nous a
commu~
niqué fa machine chronologique
&
l'explication de cette machine.
Nous avo ns déja parlé dans l'Averri{fement de M. le Chevalier de Jaucourt
&
de M ,
Boucher d'Argis. O n peut y voir cambien l'E ncyclopédie leur eíl: redevable.
Nous fouhaiterioos pouvoir nommer l'Auteur des excellens
&
imporrans an ides C HAM•
BRE o'AssuRANCE , C HANGE, CHARTE - ARTIE, C oLON!
E,
C oMMERCE, CoMPA•
GNIE DE CoMMERCE, C oNCURRENCE,
&
quelques autres, marqués des lerrres V . D. F.
U ne Perfonne qui nous eíl: inconnue nous a envoyé fon exemplaire du fecond Volume ,
avec d'excellemes obfervarions marginales, dont nou's la remercions aétuellemenr ; nous.
en ferons ufage lorfque l'o ccafion s'en préfemera.
On nous a communiqué un excellem manufcrit en
pluf~eurs
volumes fu r la P eche, dont
nous avons fait un rrés-grand ufage pour le difcours
&
pour les figures.
M . FAIGUET, Malrre de peníion, a donné l'article Cr'tATI ON.
M . ALLARD , qui s'applique a la Phyíique expérimemale
&
aux Méchaniques , nous a ·
fou rni les modeles de pluíieurs machines qu'il excelle a exécute.r,
&
quelques articles
d' Arts. Nous faififfons avec plaifir cerre occafion de l'annoncer.
Voila une liíl:e affez nombreufe de nouveaux C ollegues. Nous fouhai,ons que celle du
quatrieme Volume le foit encare davancage.
La marque des différens Aureurs fe trouvera
a
la fin du Volurne.
Nous ne devons pas oúblier d'averrir que les articles d'Antiquirés ont été tirés princi–
palement du Lexique Allemand d'Hederick.
E R R A T A pour Les deu:x: premiers Volumes.
O
N n"otiS a communiqué beaucoup de remarques
fur les deux premiers Volumes , cutre ce!les
que nous avons faites
~ous-memes.
Ces remarques
ont rapport' ou
a
des articles orrús , ou
a
des mé–
prifes , ou
a
des fautes d'impreffion. Nous placerons
ici les principales, avec quelques obfervanons Im–
portantes; nous réferverons les autres pour une ef–
pece de fupplément que nous pourrons donner a la
fin
de l'Ouvrage,
&
ou il fera plus commode de
trouver toutes les correél:ions raífemblées, que de
les avoir difperfées dans plufieurs Volumes.
A
la fin de l'article
AGIR,
ajoúu{:
Nous avons
loué
&
nous croyons avoir eu raifon de louer cet
article. D ans un libe!le publié centre nous en D é–
cembre 1752, on met la métaphyfique de cet ar–
ticle au - deífous de eelle de
J
ean Scot;
&
dans le
journal de Trévoux de Janvier 1752, o n loue beau–
coup cette meme métaphyfique : c'e fl: ainfi que les
critiques s'accordent. Mais le premier ignoroit que
l'article AGIR efi tiré du P·. Buffier fon confrere,
&
l'autre le favoit.
,A
Lafin
de
fRrticlc
AlUS LOCUTIUS,
ajoútez:
Si
ce que nous difons dans cet article ne paroit pas
exaél:, & blelfe quelques perfonnes, quoique ce ne
foit pas no rre intention' nous les--renvoyons
a
l'ar–
ticle CASU ISTE, oh notre penfée efl: expliquée d'u–
ne maniere qui doit fatisfaire tont le monde.
Arcicle
AMOUR DES SC tENCeS
&
DES AR-TS
1
p.
368.
col.
:L
lig.
41 .
Les mots
ne peuvent
qui fe trou–
vent dans cet article, ont fcandalifé quelques per–
fonnes; c'efl: pour cela que l'on y a fubfl:irué les mots
ne •'eulent.
Nous prions cependant de fai re an enrion
que les mots
ne pouvoir
fe prennent fouvent , non
dans le fens d'une impoJTiliilité abfplue , mais d'une
puilfance qui n'efl: jamais réduire
a
l'aél:e. C'efl: dans
ce fens que Mardochée a dit :
ll
n'y a perfonne , Sei–
gneur qui
puiffi
réfifier
a
votre volonté, c'efi-a-dire
1amai; perfonne n'i" réfille, quoiqu'on
puiffi
y réfi–
fier paree qu'on efl: libre. Ainli l'auteur avoit en
vr.e'un fens
tn~s-orrhodoxe'
lorfqu'il a avancé cette
proooíition. Mais ce qu'il nous importe fur-tout de
rem.arquer, c'efl: que cet article fur l'amour des
Sciences
&
des Arts,
&
beaucoup d'aurres endroits
de l'arricle AMOVR, font til"és du livre de M. de