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Il

1 F

~!able

a

cellt

d'ut,

ii faudra elevcr

lt

fa

. .

de l'echelle

de

fol

d'un nouveau

ti.ieft,

afi n que ce

r.ou

v.,au fon

fa!fe

la note fc:nlible

de

fol,

c'dt-a.diro, foi t d'un

re.

m.i-tol;I n:ajeur

~lus

bas quc

fol~

i

or

fol

o'dt que

d'ao

fe~1HO!\ . m1

~e.ur

plus bas que

Jo(

~;

done

fa

>C

qu

fa d1efe

de~11'

fots,

e~

moindri: d\rn comma

q~ie

fol.

Au

rctk

o.n peu' fe palfer a la

ri~uellr

du

double

diefa.

par

la

memc: raifon qu'on pellt

le

palfcr du

d.~11-

1;/e bimol. Po)•tz

ce mot (

Mu}iq.

)

Supp(.

L'on vcrra au

mot

SvsTEME

(

Mujiq. ) Suppl.

quelle

jdee

on doit

fr

former de l'ufagc du

double diefe.

(f. 1).

C.)

DlESE R ,

(

Mujiq.)

v.

a.

C'dt

armer la clef drs

clicfes pour changer l'ordre &

k

lieu des frmi- cons

m ajeun ; on donnera q uelque note au <lief<; accidc:n–

tel, foit pour

le

chant , foit po1ir la modu l<!tion.

f'oye-:;;

D IEZ!. (

Mufiq.

J

S11ppl.

&

Difliom:.aire raif lfes SCtell.-

m,

&c.

(S)

·

DlETRlCflSTEIN, (

Giogr.)

charqu d'AHema–

gne dans le cercle d'Aut(iche,

&

dans la haute Ca.

zinrhie.

C'e!t

de-Iii que font Conis les princes de

Di~Jrichftein '

eleves

"1

kur

d.igllit~

par PeinpeFeur Ferdi–

n•nd

ll..

l'an

162i_,

introduits clans

le

~olkge

des.

princes du

S.

Empire ~

p" r F erd inand

Ill.

l'an

1654,.

&

lieg~<

1.ns

&.

l(Ot•OS <laos ce colkge des Pan.

1686

~

.au titre de la

fdgn~mic

de Trafp en Autriche, dont ils

. fi r,·nt alors l'acquificion, fc us

k

rcgnc de Lfoeotd-.

(D.G.),

§

D

lli

TT

E

de

E?J1pire

. . . .

~anc de~.

pair.!' uc!ijia–

.fliqu s.

L 'arGhcveque de Sdlrzboucg , i'ard1eveque de.

B

r,nyon.

Dit/1onnair1

r.ai[

des.. Scimqs ' &c.

/Oli!C

JV•.

p.

88.8. II

y a long trn1s , dit

M..

l'abbe d'Expilly ,_

que l'archcveque de

B.dan~on

nc depute plus aux

dieJ–

leJ

<le l'Em.pire; & on lit dans

te

Ditlilmnaire raif. des·

Science.s,

&c.

article

Q.:oNSTITUTIO!j (

Hift.. mod, )

,.

!:le–

~· fan~on

&

Ca!l'brai ,_ quoiqu.c qualifies totljours de:

3 ,

princes de l'Empire , n.'ol)t ni v.ofa:. oi (eancc:

11).IX.

,, etats. (

c

).

II

§

DIEUX

~

.•. , On cite dans cet art·id-e un

11-.

vre d'lf•ac Voffius , intitul.e

l)eorigine

&

progref!u.idola.–

latrite..

Ce livre eQ de J.ean-G,cr.t(d

Yoillu~,.pe(e

d'Ifaac••

Lettres fur. l'E.11cyclopidie.

*§.DIFFA RREAT!ON . ._ •.

C'ftoit chez !es Ro–

tnains u11e drimonie par laquel!e on

P,~blioit

le divorce dts–

pd1res.

C'd~

un concre-frn; , il falloit dire uoe cere–

m onie pat laq.uelle les l?retres ptlblioient le drvorce·

entre un mari

&

une femme.

La diJfarrialion

ituit

pro–

premtJll.

1111.

afle , par leque/·on. di o/vail !es. mariago con,

Jrai/es par confarriation

,

q11i itoient aux dts Pontifes.

;.

au rte contrc:-ft'.ns.

Vigenere dit

q,u~

la co11jprrea)1011

&

la.

.Jijfarr[atiqn

iJoienl la mime (eremome.

l

'd~

dans ks no–

te• fur T itc L ive que V1generc

d

part·e de

1:1

confar–

reation

&

de la

difiarreation,

II

Jit qu"

l.e

div.orcc:

It:

cc–

.lebroit par la me.'r1e cerem0ni.i: q ue

le

maria&e'

quia:

fiebat farreo /Jbo qJhibito

;

rQais ii n'a gai:.ce

de

dtre que

_c'etoit la meme cerernonie. La

diffarriatio11.

eto1t la dif–

.Jolution de la confar.reation. On le 1trvu1t dans l'une

&

ciaos ·1·am re de la

meme

el pcce- dt: gateau ; rnais

c.e

n'etoit a[uremcnt pas la,

meme

cerem<>nie. 01

fo

fert

des memes llJbits f•ccrdocaux d. ns tordlnation

&

dans

la

degradation d'un pretre ;. mais on les donne dans la

premiere , on ks reci n: d'dns l'aucre. Efl-ce la

meme.

ceremonie ?

Le•

ceremonies

de

la confarreation & de–

la

dijfarriation

k

faifoient par

Ull

facriflce ct'one les. ere'

tres etoient

les

miru!hes.

Diffarrutio perageb4tur ut.con.

trarius aflus

(

confarreationis

1

procul' dubio a pontificibus

,

guemadmodum confarreatio.

Sd<len

in uxore helir.aiea! Lib'

111. ch.

2

7.

Le

,11r.es

fur

/'

E11cy(lopidie.

DIFFER E NC E

afcenjio11ne!le ,

(

Aft..ro11omie.

)'

<Jtt

la

diffirence

entre \'afceofion drom:

&

\'afcenfion oblt<

J.ue

d'nn a{\re, ou l'arc de l'equaceur cornpcis eocre

re–

paint auquel l'aflre Fepond pcrpendiculairc:ment ,

&

le point q ui s'elevc: ou q ui fe couche au mcmc

terns

q ue

c~t

aftre.

Difference

d'afcenfion droite entrc deu.x aft.res,

dl:

mefuree pu le terns qui s'ecouk entre leurs palfages •

par le mfr1dien ou par un cercle' horaire qudconq ue,

Ce

font

lcs

dijffrmm

quc les orftronomes obfrrvrnt con•

Twie 11.

DIG

681

tin

ellem~nt',

pour connoim la pofition ·d'un afire in.

~onnu

par

It:

moyt n de l'afl:r" dont on conn..ilt deJ" la

fi tuauon. Par ex, mple, on veut avoir l'alcenuon drolte

d'unc planet<! , en la comparanc

'1

une ecoik C<-nnue par

le

catalogud q ue nous avons donne au

mot

AscEN S~o.N

DROIT E, on le; obfcrve l'un

&

l'autre dans le men·

<lien

:

Ci

l'etoile precede de quatre minutes de terns la

planete, on en conclut qu'il fau t ajouca un degre

,a

l'afcenfion <lroite

d~

l'ecoik , pour avoir celle de la pla–

nete au moment ou elle a palfe un moridien. Si la pen–

d ule

d.on

\ on fe fort pour cnmpter le tenis de> paf–

fages' n'efl: pas reglee de manierc q u'elle faire

24

h"u–

res juftes en<re d,·ux paffage conlecmifs de

l'i~oik ,

il

faut faire une corr-ttion

a

l'inrcrvalle obicrve, pour

rn

conclQre cclui qui auroir li<"u

Ii

la pendule

eto~t

exa·

~ernent

reglee- fur

l~s

etoile' .

(

M .

LA LANDE. )

DI FFERENT

ou

DIFFERENI),

f.

m.

( Gram.

Droit.

N.at.

)

contdl:acion , dt'bat;

fr

dil auffi de la

cho–

(e concell:ea:

its part-agerent le different.

Le

dijjerenl

n'd t

pas la !I)emo chofe que la dilpute

&

~a

qunel le.

La

concurc"nc:o

Jes

inreret~

caufe

te

dijfirmt

;

la contra–

ciete des opinions produit les

difpuc.es

.;

,'aigr~u_r

des

cfprits

efl:

la fou rce des

q.ue-

~tlles.

Qn,

vu1dc

le

d1ffereni.

~

on

t~rm.iAe I~

ditpute; on appaite

l'a

<:]ll~tdlc :

l'rnv.1e

& l'av.ldite des hommcs font< quelq uefot> de. gros

dif–

firents

pour des bagatellts :, Fentete , ent joint au

det ~ ut

d'attentlOO; ,

a

(a

jlJfk

'llal\-ur

dts

tl!F,'T\CS,

d \,ce.qU.t, pro·

longe or.J·inairerneii!

ks

d1fputes : ii

y

a dans la plupart.

<;les qut;relles plus d'humntr que di! haine.

II

y

a deux moyens

dt

vuidey, k s

difjire11ts

enm:

cetllt

qui le. (rouvent

d·~ns

_l'etat· de

nat~rc:

;- dituit fag, rnent

C iceron

~

" l'un par la dtfruffi'on des raifons

de.

pare.

&

d'aµtre; l'aucn:

pa.r la

force ,, . L a premiere con-–

vient pr.oprement.a t'homme: l'autre a'app•rtitrft qu'aux,

beti::s.

II

ne fauc done en ven ir ;, celit:.'ci , que quand.

ii

n'y

a.

pas moyen. d'employe.r l''au.cre.

Le

difcu!Iion de:> .

c.aifons peut fe fairt> princi'pakm.ent· <:n quat1'c manie–

res , f<1.v.oir la

conference amiable,

ta

Iran/at/ion· ,

la

mi·

4iation,

&

les

ar)mres:

on

y

n. aj6te ord1na1rt mem

en- –

<;ore deux,

fort:

&

\l;:,S

,ombats /i11guliers.

(

D.

F: )

*

§.

D lGESTE-, .• .•.

ii

ya

plLiti~ur.s

fauces rypo–

grael11ques dans c1:t article.

V oici

Jes principa:les.

Au ,

lieu

cit"

L11cius BaliJus,

lifcz

Lucius- BalbuJ.

Au lieu

d'.lltt–

l'tls Caff'el!ius,

lticZ

dut~s

Caj}elius:

e•,

ft un ti::.el autrnr• .

Au lieLl· de

Cinna L1Jciru

._

&i:

!iftz

·Cinna,

.Lucius,

&c., .

car, C inna.& L11c1u · Cornelrus

Sytla

lont

d~ux .

auccurs.

A u

lieLi.de

Cneius Pompo11ius

,

conmr fa1s le nom du grand '

BompEe

,_

lila

Cneius Pompomus

,

oncle de cdui -qui ejl co11RU

J_pus. le nom du.grand Pompie.

_A\l

lii::u de

Ma.f!ut1us-,

ti–

tez

Mafurius.

A~i..lieu

de:

J fw

mi~IS

eelJ_us '

11.ic.z

]'ll–

'11.Cnlius, Ce/jiu;

c'e!t- un feul. Jbr1lconful1e, Au lieu

d'e –

D11fp1us, Mariel/us,

lifrz

d Ulp1us Marcellits:

c'eft enc.ore

un lcul

J

urifcon1ulte done 1:fo1primeur

a

defigure

lc–

nom..

ll

y.

a

enc.ore. qudques autrus -fautes

q~

Jes j u–

rifconfultes q ui liroor cet article , corrigeront aifemtn t,

DIGRESSION., (

11fl.ron, )

elolgnemcot .apparent des

planetes au

fol--11 ;·

c'e(t a-p,eu-pres

~a

meme chufe quo

E LONGATION.: mais

digref!ion

It:.

d it plm c.omm.unement ·

dc:s pl•nctes 1ntericures, mercurt-&. venus , qui1ne s'elui–

gnen'cdu IOJeil·que j uiq u<a un certain point, mercufe de

t8d

,_&.Venus

de

4-8 '

Quam!

Ct!S

de.UK.plan~CCS

fonr dans

leur, prus grandes

digr ./ljonJ<

Oriemales ou ·ocridentalcs•.,

le rayon, p.a.r

leq~d

nou> les V{)yons ell. une · tangcnte

a

l'orbitt=-· de

(a

P,lanete,

&

ell noU> paroit pendant.

qut:lq ue tems

la meme difldnCc:

du

folcil , OU

a

la,

merne- elongation ;, ccs c.irconJhnces

fout·

tres.favora–

blt s pgur dee. rminer exall:'c:mmr la lituation d'un or•

bite "c'eft.-a .dire' le lieu de

fon

apllel·ie' de meme q u" fi.

figure ,.c'eft:

~-dire,

l'excemricite

de

l'ell1pfe

qu~

la pla–

nc:te decrit.

/loy,ez

A

PH"E111

E ,_

B ltlionnaire

raif des

Satn•

(CS..

&c. (

M_

DE

LA LANO:E". )

§

DlGUE , (

I~1 dr

Hijl. n11t:

)

L'article fi1iva11t

ejt

extrait d'u11e lettre tcrite d'.11/cmaer , en Hollandt , le fep_t·

~ovunbre

1732 ,_

ficr /es vers qui rongmt !es

di~11es.

Tout ce pays efl: garanc1 des t'aux dt la mer par

dea pilotis;

ii

faut d'abord obferver quc la HOllande

1

~

rr r