VES
VES
fleptique.r
o u
pourri/]an.r,
les
épulotiquu
ou·
cJ&iltrt·
lides; ce Font la
com~e
les dcux poles de leur pra·
(ims ,
lt.
ejcnrotiquu ,
&
aurres r emede s o u .teconrs
tique; mais ce qui parofrra flirprenarit, c•efl que les
chirurgicaux d on e les p ropriétés indiv
!du.ell.esne font
;pifpa/liqt~es
occupeut la plus grande place dans ces
poinr i_ncompatibles avec la verru
épi
fpajhqr1e,
llu:
deux e(peces de remedes,_ quoique fu1vant les prin·
vanr cerre r emarque·'de G al ien, qne les v.errus qu1
eipes généraux de cecee le,cte,
11;
dullent érre ref-
font particu lieres
a
diff¿rens corp.s, ne lalflenr pas
tt·eincs a u gen re du relachement ou du
ltrXtlm.
Cetce
q ue de fe rapprocher par d es analogies ou des ref-
GOiltradiélion efl fauvée pgr leur fa<$011 d'iocerpréter
fe mblaoces dans leurs effecs;
vicin.e jibi
virtrste.ro(imt
les propriérés d es
véjicatoire.r;
íe!on eux, la verca
eorum qu.e
¡
11
afio Jatmt, attn( lix
&
lf&~raélor~llll
de
c~s
remedes ert non -f'eulemeoc d'ouvrir
. &
de ré-
tiifJ_éjlrix, nam qrue
trahrmt etuttn
non'IJhtl
011!#tn.o
cablir leurs po res, m:1is encore de r.amolir
&
de ra-
dífltJtiunt,
&
qt/4 diftutirmt
par~&~l' tralm;~t.,
.'!.i.lHs.
r-dier, eo une qut> participa orce du feu;
ils penfoient
il
eít i
mounant d'oh.lerver dé tinltlvement a
1
éga rd
d'.aillears que le
flriflum
&
le
laxrtm
peuve.nrre croo-
de cert
,IÍ.nsde ce§ efFe ts parriculiers 0U loc,iU.lll;
l~.
ver rous deux a l:t fois dans Un e me
me maladi-e"
; ·arnfi
qu ' il fe
roi tp eU Cr ~rre
m re llX
de
les a¡>pe lt e r
p~yfiques
ils "fe fervoÍellt inditféremme ht
de~
métajynpriti.![ttl!S
eu ch.imíques ;
2 " •
qn ' il en
eO:
panm e u x quJ oe fau·
daos les nuladies, toic internes, foit excerne·
' des
roienr fe pafle r qu e Cur le vivanr, comme, pa r .exem-
deux geores; daos quelques maladies phlegtnoneufes,
ple,
les efcarres;
39·
qu' il en efl d'autres QUJ peu-
par e"emple, ils
employoi~nt
a riere de
r!IÍ!taJYncri-
V(;'Ilt
avoir ég alemenc l!eu
fur
~e cadav~e
&
fu~
le
tique
o
u véjit·atoire
l~s
allri ngens ,
q~oiqu'ils
mifle!Jt
v<i vant, cels que cerraJns c:wll1ques.
f
Qyez
CAU$·
ce.s ma
!a.Ji.esdans le geore du
jlnf!tJriJ;
d11 ns les
TJQY F.
.
.
•
,
·
vieux u
lceres, d:tos les cicatrices malfaices ,q_Q'ils.
p'la-
Apres tes idées
g~nérales
que nous veooos d'ex-
~oienr
dans ce dernier ·gen re, ils appliquo ienc des
pofer fur les
v~(icatQÍr-es
¡
il n'efi [aos doure
pe~>fon-
linapilmes, tour comme daos les ulc-eres du genre
ne qui ne s'apper2o ive qu'une foule d'aurres
a~em
op,pofé; ce qui étoit pourtanr ÍHbordooné
ii
l'obft'r•
otédicioaux
doi~
encrer nacurellement daos le fyfl:eme
va
1
tion des cams dans les
m
I,Hiies,
&
a d'11mres- oh·
enrier de ces remedes;
Oll
compte done encare pu-,
jers de pratique fur lel'quels· il paroic
qu 'i i ~
étoicot
mi les
vejicatoirn,
les
fri{/iQns,
les
ventot~fes,
les
forr vt>rtés .
Voyez
Profp. Alpin,
de med_ met h,
,..
xv.
fo.nticules,
les
.fotons~
les
ligaturu,
les
ba_ins cbatu/s,
ToLl~eS\
les aurres feél es anoiennes qui oor e u qhet-
les
.flagellations,
les
a,·upunJlteres,
lt:s
11{hon.r,
~
uo.e
que · répurarion , oor culci\•é ceere' braoche de la
rh~ ·
iofinité d'aucres 12emedcs analogues qu'oo · pourr01t
rapcmlique.,
&
depUis au milieu de l'éruprioo
des
lyf-
fort bi en ranger lous chaonoe · des quarre ·compofi-
remes qui. oor écé les fl.?au" pa-rriculiers ré(ervés 'a
la
tion pharmaceuriques, doiTt
il
a
éré .deja quellioo,
'
L\1-§decil~e,
il p aro
k
que le rr¡¡itemeot par les
véji-
_.orn l1il e íous les chefs d'auraqr de- claíles · p¡¡.rticulie-
~atoir<es
s'eft conlh!J}meot fout'eou
da.osles
alt~r
HI-
Pos,
&Ct.
•
rives de
e
l:ébriré
&
de dilcrédit in
féparábles · des
ré-
, Les
vé(icr~toire.r
feroor done; pour nous.,dans cet :tr-
vQtutiqns
dcts
tems
&
des efjtrits, fans qu'on pniíle
tic
le
l' a ff~::miDlage,
le coops eotier, le
rr~íor
de cous
di re
qt;~'il
air
jamais écé enbérement.
apal)donw~ :
Cé
les moyens que
la médecine emploie
a
l'el(réri~ur,
·
,
rrai·~em~n~
pem dor,c-
~~re
regardé dans
l'hifl:oire
Elans la vue d'exrr"aire,
OU·
d'a.ttirer
a
IQ
furface
QU
des
V'3natJOIIS
d&
Parr, comme· un des
1its
préc"eu!c
eotps, ou de détourner d'une partie f11r. une aurre, •
qui ene confervé une communicatioo 'urile. entre la
tour ce qui peor nuire
a
la confervuioo der la •Íamé,
m~dioioe
anci_eone
&
la rnofleroe, ou qu,j oor
~n1~f'-
on s'oppofe
a
fon
rétabliflemeor . C'eil cl:¡ns cette
ché
~u'll
l'le le foir fait enrr'elles une vérirabl.e. ICif-
:lQC.:c~?tion
Pénérale- que le mor
v-efil:atoil"e
"doi~ . ~[re
fiot1 :
tln
préjugénon moins faverable encare
al'in·
}c)!iis_ mditferemmenr
av,ec
.celui
d'épi(pa:fHque
d~ns
le
ftirul.'ion •
na.ryrel.le&
Íl'révocable de ·ta
médeci.neépif-
~;;o~lrant
de eer arc,icle, a •l'exception des cas ou nous
pqflique,
& qui en
achevera l'éloge,
c'ell: queptu••:
en fix,e-rons autremeor la valeur
1
par quelque. fpéci-
!
fieurs oarioos d'hommes íauvages o' en por jamais
6caciou parriculiere.
• cooou · d'olutre; que parmi les · nacions policées, les
• Le fyUeme des
'l;!é(icatoir(s
aioti généralifé a fourni
Chinoi.s, les .Japoocris fonr depuis long·terns en poí-
lo!e rous les tems
a
la graf>Jde médecioe, ·c.'eff-a-d.ire,,
fefijon das tecours les plus · r a'finés de cene ef"pece·,
~ cel-1~
.qui peoíe
&
qui ell capable.. en
e!Je~m~llle d~
\
&
·qu'enfl·n il en efl: Mrivé chez les habita os de
nos
<¡es
r..r.a,¡.as de •génie qu'oo app,elle des
fOtlps
(/e<
lflliitre,
campagnes,
&
chea les gens-· du peuple dans nos vjl·
a
fourni , dis-je, les relfources les plus. érendues,
les ·, comme
aura~r
de tnédecines dome !tiques qu · o
e
&
les
·ftucd~s
les pl•us frappans.. Les coojeé\ures li'oor
íon~
p:ts
fán~
fncces .•
&
done- la rradüion s'ell con.
t~emonter
l'orjgi'o·e de' ce-s remedes julqu'a l'amiquité
.fervée
reli~icuf~menr
daos fa pureté
<!lrigin<~le
a
trú•
blbuleufe
o"U
eHe
fe
perd. avec les prt'mieres tr-aces
ver5 les géné-rarJOos-
&
les fiecles.
,
·
<:le
l, médecine. T0ut ce qu'on peue
avo~r
de pofirif
ti
eft
rems ma1ntenanr de propofer
quelq~s
""'ré-
l_a-delfus, {e: rapporte ' a l'infiitUfÍOil• de la !H>:mnaf-
fl~l(i.ons
fm
l'a~ion
&
les elfe ts des
':.léjicatoires
qui
tique
rnédicin:tte ¡pa r W.ewclicus ; de, qui les hiflo.
é<rl~1renr
pi
Y~
·
Immédia,temehtJ Jes. princfpabx p'hé-
n'éos;
rac0nt~.flr
qu \il empluyoit les friéHoris
.í~ehes ~
nomenes. prar•ques de
c~rce-
médeeJne; nous choifi-
l~s
fomenraciolils chaudes ,
&le.
d
ans cerraioes mala-
rons
po~r
cer etfer les oq._vrages d' f :Uppo.crate
,
~
d1es;
ooye.:¡; llnns
l'b~ft ,
(le la·
mM.
f.arJ...e <i:l.erc; mais
c:emc
~e q.uel~oes
aH tres médecins qui
l'~>nt
fuivi
d~ns
cornil\e
il
ne lllOUs
~H·
vien parveou
des.ouvr-agf s
de
cet
ies p;tnc1pes
&
d~os
ía .
pra~ique,
comme les plus pro:
a1.1:te qr d'ou l'or.1 puiffe orer aucune regle
O tl
.aucun
pn:s a
oou~
fourmr les lumreres les plus pures
& .
les
p
écepte
fur ce.tccr maniere;
il
pa·roir · que r (' 6poque
•
pl~:~s
éreodues
fu~;
cert?e mariere: aioli done aprcs avoir
d•une- appli cariór1 ·railoooée· de ces fecours
médr~i-
de)<~ pa~lé
du goih de ce pere de la médecine' pour
naux do ir étre fixée aux ljeaux_
jou~s
-de la médedne
les}pil
pallique~,
il no
u~
p1r0ir
a
propos d' ajouter'
gr~qu e .
.
,r
:
••
••
qu ti ne faudro1t pas cro1re que toures les coonoiffan-
. H ippocrate
dilcip.le· .<fl{erodicus a
téo~oigr,té ~a~l!
ces
q~' il avo~t acq~iíes
íqr l'ad"minillration des reme-
Q.'ell.• o~'e
po ur
!a ~édec11!e
gymnall1que qll JI
s
efi fa1t ,
des ., JI
les . not U111quemenr d'un empirifme fraid
&
fOli P'
i?one r . d av?Jr env,_é
a
fon m
aí"cre . la . glo1~e
de
bor?é,
n~ats
qu'll .les devoit encore aux élaos d'un
ce tt~
J.llveotiOn; a la
.v~nté,
11
faur
coove.mr ·qu ·-ave'!
~~n1e
vra1menc
1
phllofbp~ique,
reélifiés par
tour ce
le
ca
ra~e r~ d~
[unpllcJté
~
de be
auré n.awr el.lec_¡m
que peuvenr donner
de
l:~ga ciré
•une expérience. con-
efip a rtr ~u!l er
a
cetre
m~decme
>'elle UC
*Oit a,v~mb1e11
fom rn¿~,
&
l'hab irude de médi ter profoodéme"ot fur ·
d.esarcratts pour un
~éme
de
la
~~empe
de
-c~lll
d'H!p-
la nato re . V<)iéi p3r exemple une des maximes de ce
pvorate;
allffi
ce
.cel~brtt.
reformateur
a~r.,JV
c.oofiaé.
grándhomme la plus (:apable de nous déc;ouvrir le
rablement endaén fur c.ous ceux qu.i onr hpO
t•
avoir
poi.ntd'ou
¡¿
ell parti
~
&
de nous faire pénerrer
ul-
~rée,é?é
daos c e tte
ca.rrrere·~
-(a. .pratJque
r.ou.lequel-
réneuremenc daos fes vues;
¡¡
dit en parlanr du trai'"
quefoJs r?ute íur les
caut~nf~ rJ.ons
, . les
fnél10os, les
tement des maladies de
la poicrioe:
pars verO.
eX'
fomeotatJons,
&
autres ép•fpallJque.s d<!nr
il
ne. cefle
carne per medic(lmenta
&
potiones dijfimditur
&
per
de vanter
l'~íage,
&
av~c
lefquelles
11
opéro1t des
~·aJ~fartoria -extrin{ectls admo~11- .
ttd-eo
rtt
111
orbus per·
o.ures
~erv~llleufes.
·
.
.
.
.
tfJ{tJm
,·orpt~s
fPargattJr. ,
V oy .
fiv.
f.
de
mor.
fié/'.
•
.
Apr~ H•-ppo~rare
• les !llédecms
~UI O~l·t fu~
le'
pag .
4 )9 .
Fa:zius;
c'e~-a-dire
qu'f:{ i
ocrate
en ro1t'
p,lus
d
hoq~eur
a la
médecme -des
'llé.Jicaton•u -,
1011~
que lorlque la maladie
ell ' fix~e
darfsP un
org~ne·
il'
les
n~éth<;>dJ·q~es ~
fertlblaJ)Ies en quelque
f~soo,
com- '
con.v-ieot
f'lOut"
l'emmeoer
a
guéfifon de la répaodre'
m:
I.JldJt
Jnoéllleufe~e•:r
un mo<ferne,
~ ,
u:o
poflu·,
d ans rou res les p3rties- du corps, foit par l' ufa<re des'
lli•_u
m~,e
Deícane;; qu1 n
a_dme~
que le mouvernenc
&
• r~medes
internes, f0ic par l'applicarion des
é
~r.ar..
1~ rnat~ere
•
Vo_¡y . .tbe(: aqrut.
mmor.
llqtl'dl'.
Leur rhéo-
trqtJes.
Celfe a dir· eocore dans le meme fe'ns
P
~f Ye;
ne bd1 née
~u,flrtélu1l1
& ..,au
la.xr~tn.
n1admet
~galement•
.
interdflm natura
q11
oq
11
e adj
11
v
at. jiex angujÚoye
fl–
q/Je, eux e
p~ces
dde cern<llie
s qmfe rappolltent' quant
l.
.
d~
'Uifirmi tranfir
in
latiÓrtm
V.oyde
rauc morb
·2ux
v~rtus,
a
ces. euat
~m:es d
!a.ff-e~ion
daps
l.e&.
fo-.'
't:ap,
·l"V.
.
:
·
·.
. f•
1 "
•
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• Cette