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1 N T

U di

impie d'elpofer la religi n

lU'

impotatio\),

oo!ie\lf~s

de

tyrmnle....!

de dureté, d'inJuUice ,

d'lOrociabililé

1

Inem~

daos le deUein d' y ro.meo.r eeux qoi j'en C«okm mal–

)leureofemem écartt!s.

L'erprit oc pcur acquiefcer

qu'a

ce qui l!,Ji paro1t vrai ;

le erenr ne peut aim r que ce qui lui [embk bon. La

violence ferji de l'homme \In hypocrite , s'H en to ible;

on

manyr,

¡'il

en

cour:lgeux. Foiblc ou

cour~gcux

1

il

.íemira l'injuflice

de::

la

pcrféculiou

&

s'en

indignera.

L 'iol1ru¿,Hon, l. perCU:I"on

&

la

priore, voilil les Cculs

moyens légitimes d'étendrc l. religion.

Tom moyen qui cIeitel:l haine , I'indigoatioll

&

le

mépris ,

el1 Impíe.

Tom moyen qoi révcilJe les pamons

&

qui tient

a

des viles intérelfées, efl impic.

T ou,! moyeo qui relache tes liens naturels

&

éloigue

les pcres des enfaos , le freres des fl eres , les (rellr des

freurs , efl impie.

.

T oot moyen qui tendrait

a

foolever les hommes,

a

armer les nations

&

tremper la Ferre de flOg,

ell

lI11pie ,

r rirenle traitée par S. Augulkio, 3pres

,'é.crc

rétUla~.

VOUI

.'0·

nCG

épargn~

a

.ous

m~me

JIl

peine .de: rcnouvcller de minec. ar.

gumens.

&

a.

rno} ttlle d'y rérondrc: ,

~

redlfant

ce

,qDi

a

~té

tan« ele foi,

Jtpil~.

T u,nqvillifl!t 10ys de $u ce fur le ron de la

{ocié~,

San.

le con

(di

de

per(onllc , la (oclC!té a tODjoan éu! ,

&:

cft

encqre ;rdaellement

d~chirée

&

di..-j(l!e en pluficur, balon• •

LCt

c:araL\érc• •

Jet

perfeGtions, JCI

yic«

des indivldus les acron iU"em

Ju mrellemeat •

Si

r."

pllN ,nr¡ubl,.

tt,.

ou, voia hon de In qneClion . Non,

"'o:Jfjeu r

I

¡'Qn

oc

peuJ arr:u:ber

rQ~me

un cheve1,J .\ (on procb:lin

I

pour le (eul !Uo.tif qu'it

~nre

anrrement

qu~

nocu .

11

n'eA. méme

~rmi.l

1

CUCun rOln ic:uher de ponir

1<:11

('rimes 'luí

~UYCDt

.enir

d'une

fa~mn ~II!

penfer

diverf~

de

la

eommunc .

ó',' . " ,,.,',,,,

;"fitl/II

I:r~

Voill encore une hypotbUe <tui eA:

étr.1ngére

a

la "luclHon ,

Ii.

cependotot elle n'eft une pétiuon Je

príncipe

J

un cc:rcle videux. U ne ml(JjQn divine conf'btée p:ar Je.

ptOJiB.C!i vuimc:nt fUtnalurelt, ou &nc do6:rine ptotl.t:e

pu

ecue

'. oie

&

par bien d':aytres non moins forcc-s ni moin.

~vldente. ,

peayent (",ulet 3utorifer

les

hqmmes

a

vouloir chotnger la Doéh ine

&

la Religion (IQminJnte \f3ns un

ét~~.

J'9re le Jire. qud9uc ab.

(urJes que fUlfe:nt Ics impiété. de 1'¡Jol!erie . les paJc(", cpOcat t:re

t!::n droie de dl:m;ander .:IoUX A¡lÓtret

&.

~

leuu focttffcur. , par qyels

litres

ib

venoient :\ltaqucr II! culte de letan n ietlX •

ac

pr~cber

une

doélrine ,"connae , S lh n':lvoiettt vo le. Min:ilret de

l'

Ev;¡ogile

opérer de. miraclc.. ,

&:

produire

1>3r

de telle. leu tes de créaacc ,

'e.

preuv~

de lcur mimlln ,

Al.lm

j

erl.ls

CbriC\

y

a'lt')ir pourvu ,

en

Jeur donnant le pouvoir de cha(f",r le' dérnon), de guérir rabite.

menr lOUteS les 11'Iolladles,

&.

d~

rérurcirer les mor

u '

II

continua

ce don

a

(on

l:gli(e.

C'ef't

pour

cela qu'on

3.

qaelqueroil proyoqué

Ic. nov:ueuu contre

la

doarine re'9Qc corome rc!.Hée ,

a

rrouycr

I~ur

nouvdle .Ioth 'ne p3r tJe. ruir,lCIC" Ces ,<l¡ron.

00l

éu!

0r·

po(~es

maintes

' UIS

1 oenx qui

argumenroient comree vous . Vou,

'-tic!. done dans

l.

néeemtc! ..le reln.lte 3U

lI~oin.

de

le, réCoudtc ,

pour lere en drott de f2ire de.t d.m3ndc. qu'elle, cJt:cluCnt ab(olu.

me:ne.

¡"

f e"

Jo,.;

e'OUI gouvernemenJ a le

~it ¡J'~tte infol~r"ne ,

&

il l'dl:

de

fah; c'cn l1ourquoi le. Mi'1iontJ3ire.t ,'cxpo(em :tu

martyrc ; m:ait ,'" {.,..

u::{d,.."c

ce droie n'appardcnt qu'lIu

cou~

vernenlent qui l'rorelle:5(. défcnJ In

"'3i~

lteligion . VOIIt .oulcz

(ól~olr

,ce que

f~

••

rondrone

,¡ ""

p,.,'""

" 'fitl!l.

let "'."iffionn3ire.

{l1

D u 'f ;

Ignore,z. vous que JtCu.-Chtlft méml: leur

a

du dOln' la per_

(ollne de (e_ Apótre.t:

1'1,1;"

"J" . ,.I

9.,,,..J.

4111

9,,,'d

I'f,u,m"'''',

.di,,,,. " II'm

lI'S.,',

in

,'(1. b.r4

q.

el

I'f"."''-'" I

~'Ift-"

t¡",

h

Ch,,'jI

o-c.

C,II"ln

v~ vou~ r~pondre;

4ltl'';

Ji

rx·

upi. m ""f,Ndm

D.mi

"Nm fu":

m4~lrl

..

Jft

,.,

¡ "rtlt, ,..,,,,,., .

d"III .."••

U d,I ,

v"nrfitt'a

'#lIt""rJ',

;tll.tl

' ' ,mrflltl {",tui4

,ff,

1,."

.'"'" ,.;

'l~ld

Jill..

r,'

f"!,,:1

)'o"?,I!u

Jl<1f

bri4!~eu!

bien,

d::tUtr~~

.réponfes,

."IlIe

l'on

pourr...

~1(Cmenc

Clrer e ce '-1u

1

a étc!

JIt

Jurqu

tel,

~I!fi~cblffi.:z.

(¡:u.

Icmene , Monfie:ur , 'lu'a

rr~rent

roéme les miffio",\airel qoi 'OtH

pré:cher 1'l!vOlns;le

QUX

N*tioml: batb:lTes . ne pentene jam:lh :\ lutr,

ou rc:ra:cneer pcr(onne,

ro,,"

(onl JifpoO!:.

1

tout (ountir ,

meroe

~

moutlr pollr

(a

Sloirc .

S.,.",

}J..

"I

uc,

Si

vo.. c\tJrions (ont toates aaro peo Rdélet que

celle.cj

, I'un V0'l5

(oup~olll\l:r".

MonfJeur, de

m3U't3ife

foi ,

J

'ai

t Jfetbvcmcnt lIoové dan. l'hP1rre de S , Paut plJiGcou amrc, (en.

tellces Jont le vraj (en, en conrraire :\ 1:\ tolérance . En "oid une :

Ih lt nll . Ht ..Ant.l¡'u

41

C. I.

'tI~ntlUur

'11'.""

f"" '"

9~tlm

qN.tJ ItltlnJdh.At

,,·m,u

11'."' • •

,f4,h,,.•

.{i' ,

¡l';

ti!!

.,

{nl.nl

c7c

prC"mh~rCment,

vous copfunllct. id mal

a

pro.

¡

>OJ,

Monllel.lT

,

¡nl.li

"."e,

&:

H.line

i

feconJement qUOlnd vou, par.

ct.

de

Tol~r:a'lcc

en faie de Keligion,

corop3re~

9nu. , cclle-cl eom.

me

~'''ucrCi

écriv3in.t ont ort le (¡¡i,,!,

1

1" Pbilufophie p3r cxetUl'le

~'''rtOote ,

qu'un 3ntique

~

;:¡ycugh: préjugé , di(eoe ils , .:Iovoie rendu

;3Qm

(acr~e

\jue l:a Relicion.

&

Jont on a cnfi n Olbjoré Is:.s ern:uts

I

Si

e~13

eR,

un tel ·rajfoql}ernenJ

(e

eouvte :.lffC'%

de

honre pJr Jui

m~me (~nl

qu'i1 fqit be(oin

de

I':.lvilir davantJge. T Olnt que von,

r atlerezde

ToJ~r3nce

en (:.lit de purCJ: opinions , je VOUJ donnet3i

roure (.tlron. mai, ,'ous 'ctez. hors de la qudl ion.

S ,

tlUI

C""I~

& 1,

I'on crie ,

comme

I'on écrit. je

R~!ie ,

MM.

le.

Tq¡~r3n5,

que vous criete1. plus h;\ut que per(onne. S'il ne

. '3gic que de pl.lre. opinior'IJ .

a

la honne heme: eriez

a

p'eine cor.

{;O '

~olre

cOllfeil «pcoJane ou vOlrc p,ojee (er;\ le plus rain;

m:¡i.

je

n~

(la"

cro~rc

lIue vOlf' renfie¿ (t:rieulement

a

I'appliquer 3U e,u dc

d!rpulc fur

la

Kcllgion, ele peur que vóue

&

f ll'/mp""

ne "ou' fuere

. Ilavender r Olr les pcrfonne.,

je

ne dirOli piJ'Ínt z.éll!es , mOlis

honn~te.

~ Je

bon (en.. . Si votte

3v~lc:

elt

on aveugle humble

d..

lu (;¡

dl(srac~,

qui n'¡,,(ulte poine

1

CéU.x

qui vOfene, je (uis

pr~t

1 le

compaur .

a

le plaindrc ; m:ai.t -'il en un imf\Oflcu r, un :aveugle

malln , ennemi de ma

f~cDlcé

vi(uelle, qui (e rei:;n:lnt :a"eugle , ou

)'ée3nt, (oulienr qu'il VOl! des chu(e. plus bclles

I

plus ellirnables,

plu.

r~elles ,

qU'on ne I('s voit a",ec les yeux,

~

cel.:t peur 3rrjver

.tu but de

m'~veuglcr \'~ritablemcnt .

jc;

o e te tolhcT3i point. jc le

1 N T

11

en impie de vouloir impoC¡:r des lols

~

b

eooCo ico–

ce, ré le \lniverCelle des. ions .

JI

faut I't!elairer

ó:

non

13 cootn.indre.

Les

tlol1Jmes qui

Ce

trompent de b nne foi Cont

a

pl';n–

dre ,j.mais

i

punir.

JI

.,e faut tOurmenter Di

1e<

hommes de bonoe roi

ni les hommes de

ffilluvaifc

foí ) mais en abandonner

I~

j\lgemcnt

3

D ieu .

Si roo rompt

le

lien avee celui qu'on appelle imp'ie,

o n rompra le líen avec

celul

qu'oll

appellcra

!lV3re

t

nn–

padiq\,lc , 1lmbitic:nx

t

col

ere ,

videoS' .

0 11 confeilte-ra

Ctl–

re rupture

3U~

aunes ,

&

lrois

O\)

quaue

;IIIDllralfl

fuf-

6roDt pour déehirer toóte l. Cociété .

Si

1'00

peut arracher un che"eu

3

eeh¡i

qui

peoCe

.0-

tremeO( que nou' , on p urra dirpoCer de

C3

t~te,

paree

qu'iI n' y

a

poim de Iimit<$

i

l'illJulliee . C e Cera o u I'in–

t~rc!t ,

ou le fuo.tICme ,

Ol!

le momeO!, ou la circo nn1o–

ce

qui décidera

du

plus o u du mOlos de mal qu'oo Ce

perm~ttta .

Si nn

rralterai comme an rrippon ,

&.

tout gouvernement. tOUt rrince (;r.

ge, Je peor qu'il ne ,éuffilfe

¡\

ave~G'er

be:lucour de monde , doie

Je punir

&:

1'6ter de l;r

(oci~t~,

a

Je vou, (outiens qu'i1 aglr.. cn

C7la (uiyant

1:\

JI.Ill-ice: mait je: m'lrend.. erol' (ur de. propofidon.

f ldlC'Qles ,

&,' • .,

Iql,Urlllrl

i!J'~,

laYCZ

vous, Monfieur , qae dan' le

fvR:~me

mEme tIc

J'intOl~rance ,

il n'eR !'.<:rmis 1 atlcon pltticuller le chl.

tier eJe

ron

chef,

0 0

d'an:uhém.ltifh le! Incrl!doles

I

cel" étlloe, que

dev!eol, votre (uPPO(jtiOD' le

r~n;rlirme

rEel qul voUs

anlm~ ,

vous

en falt f:t.ire de bien !in,gtlHére• •

El , ..1 1,.".".,

fi"f1

«!n.

1

vou.

entendre le

~ars

Oll

la Keligion domln;¡nte,

01\

le t;0lJverr1cment

eA incolbant ,

n'crt

roine ptOltiqul! r;u le. élu.ngeu,

n';l

ni

Com.

mere.:,

ni

(ociéet:.

Otl

"OUS em¡»orce an f,¡ur raironnement

t

Rrer,

le (t:ul homrte fenú!

~t

:aborder (ef\rement

, &

impunc!rnent

I~

P"Y'

qu'h3bite .I'inroltr.tnt , Je ,'OtU en épargne 1).lf mé'nJgemenl b J6.

monftration

&.

13

conré'quencc.

n d,,:

'11,

¡,.:

,·",.It,.""

,'U

foffif.lt

&~

/1

7 •

¿ti

" 'U"j'!,H /U

ó-c,

('1 Ih.

4'Ú"

lIl.J," I7,

/.,.,.r'l'u

",.1

J,.A.'§',:".

V,.Je

crois qu·arrc.t

fOUces les réponre.. ,

&

les autorué. dohl cene noee cA remplic ,

. ous n'aure¿ ?oinc le couuge d'inlifier fll r

YO.

affertiont

abro.

lat!!, Aa moios

11

n',

aar 3 rllU, je

pen~ ,

de leaeur qui pullle

~tre

induie

C'l)

erreur, pu le contena en vouc Gfdcle.

'-tI

tot ol11lf: 3utoritl!s dune voa .. l'avh rard, qu'on les compare :avec

celleJ

que

j'.l~

f':lppol;fet ,

~

que le leéleur de honne (oi

&.

imru.

lial clécwe en

fav~ur

de qud p:ani , fur la queRion donl il .':1&ie,

peRchent le, (ulfrOlge,

de

I'!;crilure. des lit re"

l<:

tlet Concile. ,

)'cn ai be3ucoup om¡' dan5

ce~te

nole , pour ne voinl la rendre

phu

longue . quoíque fon impotlance ml!rhJt uh plu.

gUlOd

dée3i1

i

mais

on

y

CuppléerOl

(aeilement p:tr un gund nombre de paO'.lge.

que I'on trouver.. d3ns S. AuguC\:in (ur-eoue , dan. le COlrdln:l1 Rel.

"'Irmin, d:tns Noi!1

AI~~lIndre,

&:

doln. bCOlUCOUr d'Queres

Th~olo.

g iens

6c

at.ueuu C.n holiquet , qqi tr.1.icent de:

C~Cle

matic!rc ; mémc

Jan, COlJ7in . IJour ce qUt ef't de l'aqtbrlU!

~le

.. Perc=t , , 'ils pOlroilfcnt

quclqtleroj, s'oprorer

a

l'imo!l!r,1nC% ,

ccb

dort . 'entendre 011 rclalÍ.

vement

a:

la premiére

:lec~pr;1lion

de

la

toi,

011

telafiv~,"l!ne

:aUlC

¡ndlvidu, parriculieu , qui

n'on~

aaCun droit de eh.tier , d'c;I¡com.

manier Je leur ehef ,

011

cnfin relou iveroenl

i

d'aulret circonfiJIlce.l,

qui n'6cent poiot

1

I' t:glife,

&

:lUA:

,'rinces fideles, le droit

do:

ch! tier les incréJulcJ ,

In.ti.

¡jan. lerqocllC1

11

reraí: hon de ¡trope,.

d'en fa ire orage. · C n PCUt dire encore qu'ih pltlent rcl"tivement .\

de cereal", b ItS parrkutieu, d:ans ler<¡oels le

1.~h:

inJi(cret de qucl.

~uue: ~~~~n,' e~e :\~I~&~~e

dea

(:,a~~~~;r::'

6

e

:

l~a~~it~o:o¿;:~~;iq~e

n'cn poine te(ponfable ele eour ce que roae

l'C..

en!.1n.. , Mais je voc..

aecordera: rour uu mntntt)t que quclques

UD'

cJe. Peres Ohl

d~cla.

Olé Contre l'intOlér3nce d.tns

le

(ells qui vous ell f.tvor.tble. Q!1'cn

conelaetcz.

VOlU

f

Uf

(e (ont (tompé'. Cel.1

(/f

vérífie u all-erueut de

S,

Aygu(hn , comme le font volr c1airemer¡t

le.

pMolel que faí

r.1pportées ,

II

ch~nge.l

d'opinion , cQnJJf\lna la premlcre ,

&:

(pu .

tint

la

dcrnicre , de

(.l~on

1

embuall"er tout pt6eendo bel cI¡,ri"

Ce 'luí m'étonne

&

éeonnera eOtlt Ic(i.!lIr écl"iré

3c:

c:.a1'Olble de

ré.

'l.!chir , en que VOUf :ayez.

cité

un de. r ' llac\:. de S. Aoguftin,

<I"i

en

IrCs.pc

:ti, nombre rone conernire. :\

I

intolérancc>, fanJ eq

;\v~lr

r;¡rroraé 3Ucun de

ccu~

qui el) bien plus geolnd nombre lui rOlle f.t..

yor3bles ...

&:

(An, laiR'.:r méme encre'foir qu'il .'cn ,étr:llté (tlr la

pr~m¡e,. . ~n

OlU"

autori~f.

pdres J u qouvc:¡u Telu rnenc ,

&.

aux

pu~riles

réftelCions ,

&.

:tux

f~utr~1

conr¿qllcncc:s que vous en

tire~,

iJ

n'y aur:l point d'écolier qlli

n'y

puilrc r¿pon Ire.

J

'~jnu .

tem,i cependant encore: ce p.1trage

de

flell:armln;

7t!lp.".,," .

,rl"..

"",

IJI

'U".

m."f """¿,·"II,,

Eul,jil ,

'1NI.

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F,I,."m

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MI

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v"ru t

('l,b,

""tff

il ' –

,.,,'"

11I1,tr.""~"'.

ín C, tit, de h:creticis .

J'.li éviet ;lurane que Yai

pu

"e

fl"tler de Jqon chef .far

\lfI,e

mol·

uére

Ir~iei!e

p,u

de~

gi!:nie.. bien (upé'rieur, en dollnne,

J

dl'l!l'C

avoir cüé' un nombre

(uffi(~nt d'autorie~.

lirée, de leun éc:tlu , pour

déerqirc' vo..

(op~l(mcI .

s1

me. loíble. lumiéle. ne m'one po:nl

cd'1·

duit

::IiU

bUl. I'on me (dura

gr~

41cn :lvoir

:lrprocb~

[':Ir mon

z.~le,

Enfin je laHfe alJ le cur ,

1

1'3UteUr m!lnc le (uln de

fu:,pl!!.:,.

a

ce que j'aurois pu dire de phu conv"

lnqua.qt

llan, ecHe not..: ,

&

de corriSler les

Jér.ai

(onna~lef ~ (é~h¡e,u(~ con(~9~enee.t (,Oll~en,ue.

dan, le. dernier. rar-agr3pilu tic I

atilde.

en

f'l1r.~n~ ruém~

I 111·

rerre des conrcilJ

6;:

des protefi-ations de l'auteat, SI

Jam~l'¡

11 Jeito!

tln cour d'a:il (ur me. réA:xions. peut-6rre ne me

ttOuv~n

,.,1 ,11.

Gne qae de

(~ comp~on,

peul.Etre ::Ium

(erol.t.il

~rret.

Juno $'Our

fe récu!\:cr;

je

puil au moins e(pf:r(r de le trouver

Tol~¡r~1I1 .

puíriu'iJ .ubore

fi

rolenoC'Uemnl I'étendard de la T olér.1.ncc. (2 )