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ROM

v~es ,

on voit

leti

tendons des

raáitll/.x

~xt~Y¡UI

&

c:eux

des

<xtmImrs ,omm,,,,

&

propre,

lefque\s Com rous

~ridés.par

le Iigamem

aHl1Itlaire eXI,r",

plaeé vers I'ar–

tleulatlon du pOI¡loet. Ces tendons fe continuent Cur

les doigls, au mouyemem defquels ils Cerveru. Les in–

tervalles que laitfem les os du méraearpe eotre cux

ront occupés

par

les murcIes

illt¡"off~llx

externu'

ce:

luí qui

1

~ll

entre 1'0,5, qui

~outient

le pouce

&

1'0; qui

porre

1

",de x

,

Ce nomme

1

adduéleur

de I'index. Sous

la

pea~

du, dedans de .la main en placée I'aponevrofe

palma"e, a laquel.1e tlent le mufcle

ptllmaire mta"l:

vers le haut du

pOJgn~t

fe trouve le

liga"''''t am",la;re

,,,terne,

Cous lequel parrear les teodons des muCcle>

fléehiffeurs; I'aponevrofe levée, ces rendons psroiífent

a

déeouvert, ils

s'avan~ear JuCqu'a~

bout des doigrs ,

&

fom arretés en

e~e~1I1

par plu.heurs rraverCes

lig.–

memeufes.

11 Y

a le, quarre petlts muCeles nom:nés

lombr;caltx,

qui ciennem par uo bout aux tendons du

!lI.uÚ:

le

j/ld,ijfour profind.

Les

inllro.Dmx inl""es

COn!

Jel plaeés

e~tre.

les

<1S

du métacarpe : on appelle

a11l;–

tbl"",'

eelul qUI en emre le pouee

&.

I'index: fur le

premier os du pouce en plaeé le muCcle appellé

thl–

",,,. JI

y

a deux m'lfcIes du e6té du pelir

doi~t .

l'un

fe uommc

hypoth~1Jar,

l'autre

en

le

mltacarpiu;:

¡e'\

arttres radiales

&

cubitales fe rencomreor

&.

s'anal1o–

lUoCent dans I:¡ paume de la main: on

y

voir .uffi les

d ivilions des nerfs palmair.. qui "ienneor du

m!dian

&

du

cubital.

L e

poi~net

en fait de huit pelits os qui

fOllt

h:

trapefe,

le

pi,rarnidal,

le

~rmld

01,

le

cr;chH,

le

foapholde,

le

lu"atre

,

le

ClmerIorme

&

le

piliforme'

~ur

ces o.s [ont plaeé. les cinq os

~u

métaearpe, don;

J

u~

[oullent le pOllce:

~haque

dOlI:t en

f.it

de trois

pellts os nommes

pbalanges,

exeepté le pouee qui n'en

:a

que deux. On trouve

'¡lX

artieulations des doig"

certains petits os ,appelIés

os flfa'",o,des.

'

L'eItrémité

¡nf~ricure

en eompoCée de

la

euiífe, de

la Jambe

~

du pIé. A la partie antériellre de la

~uiífe

lOuS les tégumens, fe trouVe le murcie

'flladriceps'

une

partie du grand

cQlIturier,

les

'l)aiffeallx

&

tes

nerfs'crll–

ra!IX

en

haut,

le

murcie

Ob~'lr!lecltr ~xterne

qui

dI

ap·

phq~lé.

fm le baffin ,

au~li-Qlen

que le

pdlin<tts

"

a

l.

p:1rue Interne

rOnt

le$

vaiffiatlx crurttllX

&

le,:;

t,-oh

tI.!–

¿uilmrs

de la eui!!"e ; le

fafeia lata

&

le

",,,[<le Ipineux

fon

placés exténellrement,

~

Pon trouve en

arriere

le

m'ftft/~

Mreps

crllral,

le

dt!mi-nt!~'vell,~

le

demi-nup/.–

hr'lnCIIX,

&

.'es

vaine~ux

qui ehangent de nom en paC–

fam Cous. le Jarret,

&

prennem celui de

poplitls.

L 'os

de l. eu,ífe Ce nomme

femll'.

Dans ron articulation

svec

I'os

in~lom'ntf

Ct! tr,ouve

UIl

ligament applari,

&

dans [un UnJa n avec ,. pmtW, on vnit en devant l.

rotule,

&

dans I'inlérieur

l~

ligamens en)ifés. La jam–

be elt faite de deu>: os, le

tibia

,&

le

plrom! ;

cntre

ces

d~u~

os e!l un

li,gm:runt in:lrtl,U'eTIX,

a

fa

faec amérieure

duquel COIlt placés les

murc1e~

;arnbier.l

antlrle/~rJ

l

le

long Fxte"r.",· commw¡

da

qrtClls,

4

1',:rt<11!er¡r.

pro-

~men~

.

(al

l

s~~~~n¡:;!*~~~~blt~ r~!rOp~r1:rn!

i!¡

~~FiI:it~~lly;té~:ler,~li(~,~;:;~eti

n'en eft cependnnt point

~uell¡qn

I

Cc.ne

obmiffion (ortHie le roup-

::~irq~~t)j;i~~i".f~:if~n .d~l

,::

ir~~¡~::r¡~~t;¡

t;;:

~nll~~u; ~:ri:

moios

de

mal dans 13 dcfinilion, ma¡s

elle

rcr3 toujours vieieule.

peu c1airc.

&

non .2b(olument convénable

a

I:objet déÑni,

C'Of1!I–

m~

toute bonne

J~finition

le

doie éerc. Qu'on

voye

I'ardcle

pmfit

1

I'on

y

¡¡ra

dan~

leJi premiére.

Iigne~,

pmf;',

.,¡rrt,,'M,

/ttrupr"",

f,,,r.,i.,,.

""f,i,,,,,,

,'tlle,

""i."

,

flmil,,,, él"

h.'

ti"

Itrm"

fJ"'·

lIimn .

du

m,iru

4:

d"

,/pnr, {lIftu ji,;tls

&-

prtrtff'II11:,

'111; Its

tm·

pl,y".,

¡"diffé,,",mtrrt

ddllS

Itllr

fAr." tit

,',xpl;f"'tr;

m",is

,.m"" U

n',

11 p.illf

dt

17U'S

tI."r.tlt17Jtnt

f .,ranimu,

Ir

fll';IJ

lit tt rfnr

tuo

4 M

,1M' '1Ht p.r lA

rt¡J'tq,.'ts"et

?fU prpd"it

, ...

t/l1l:

(','d!,

SIr,;" ",lt , 1N"

l,N"ft

nmmlfllC

.i

UIO,

jt

""U

t~"lltlnt1lt

marflltr

[,ur

d,'jf~rtlltt

ál

~~.~~; .!;~~~tj~~e~(jefi!'a:~~CI7JI:"~¡n:i~~I~~~u

:l:

t

e

cf~;::~ec;o~~~

dit qn: I'. ";".ri.,, eA:

14

pt.fl,

'I!

,...,

'1J1't{/t 1ft

prflprt

4

pr.á"i"

1Hflt"u

,htJlIXtmrllt

d"M

{'. m"

é'

pdr

tt

m'l'"

l'¡,I~,'rtr

&

l.

:Jlidtl'

,

Or

comme:

/lld,'rtr

ir

$JI"t'

('~mt

eA:

I~

propre

de la

.,.a,'.

fu,

j'imasine

q..

l'ett dil.1nt

op;".,,',n

I'"uteur vcuc Jire

rtJir'II,

Je

laim:

3.

~u.l.

les

Encyclopé:.hA:~s

.l

concilier

~

lier

en(cmble les

diRCren¡, :trticles qui convienncnt

a

II'H!

méme matlere , eorome {ont

..

bn~

le

C.:l5

prHent

les

anidcJ,

I/",mu, PI"ftl, 'lt.rti[.ñ

Se

autrcs qui

devroient re concilier , par une Ii:li(on

Ii

équivo;¡ue. m3b quelle

con{équence

tireraj.je

de ce qqc:

j'ai

r.1prort~

qe

1':1fticle

p!'Úéf,

en

(apporaQ¡ que dans Ic! divets .1t'Jicle.

H.mm

,

qoan~

00

:1 dit

ptn–

[Ít.

on~htcnJ

.,,,¡'ftln

/

L'.::Irticle

pu[;'

noul :1Jpren(' que ph,6enrs

.::Iutres

.::I8:t:,

de I'homme (e peqvenl' dire

!(/lftts

dans

le (en!

déjl

eX!lOfé, meme lcs

f'II[.ti~", '

..

en ce ca.. on pourroit déliinir tOUt

animal

UII

ir"

qll,'

pfllrt,

Done la Jéfinition de I'homme donn!!e par

les Enc)'clopéclitles ert: ob{core

&:

indéfini.:,

&

ne con"ient pa••

mnl'

ÍT

{.Ii,

Elle

o'c(l

pal mélOc conrertible:

eu

j'accorJerai que (out

atre qui raironne •

.::1

la

faoulté

de pt=n(o,!r, mai.

j¡:

'le

~uis

.1Ccarder

'1ae tout

¿trC

qui pen(e

~it

cdle de

ni(o~ner.

Be

,\u'ainli

p'.Ji~

ti'

ROM

22)"

pY~

du

pOIJ(e.'

l'artere.lib;ale

a'ltlrüure

re trouve entre

Ce<

mu[cles: fur le e6té fom les deux muCele,

pi,

0 -

nierJ

exfer"~J

&

In

l1erft plrunitn;

en arrtcrc fOllt

les murcles

gaforoc'Jlmit!nJ,

le

tibia(

~r;I"

le

fllah

e.

le

jambirr po/iérieltr,

le

!01'Jg

fi¡,bijj~lIr

commun

au

orteilJ,

le

}llcb~lfellr

propre

alt

pOllce,

l'

arUrt.' tibia/e

p~ft,friellr~,

la

plroni~re,

la

fr~rlJle,

l'

intlro{[ell(e,

&

les

veines t:,rellires de toures ces arteres, les

¡"rfs tibinux:

vers les malléol.s

Cou

la p,e

ltl,

Cont les v,ein.s fa?hi:–

I¡es . Pune

interne

&

I'autrc

6xterne:

ve.rs

la

jointllre

du

pié

di

cn

devant le

ligamcn.t

ttn,,"laire

exürne

t

oc

en arriere le

tendo/t d'!lch',lIe.

L e pié en fait du

tarfo,

du

""ta'arfo

&

des

ortúls:

le tarfe en t¡¡jt pa.r I'.trem–

blage de [ept os, ql1i roO! le

cal,.!"u""

l'aJJr".~al,

te

fcapboide,

le

m bod. ,

&

les trois

Glmlrfornlcs :

le mé–

r"tarfe en fait de eillq os ,

&

eh

ICI10

de; orre;ls do trois

phalanges,

ii

1

exeeption du pOllee <¡ui n'en a que deux.

Sous la peal1 du d." du pié

Cont

les tendon$ cnenCeurs

&

le ml1rcle

pldi<fix:

[ous eelle de la plante <lu pié

en plaeée

JI

ap01llvrof. plan'aiye;

les tet,dons des

flé–

chHfcllrs eouverts

par ll!

rnltfcl~

Jilb/ime,

les

~onll,,'i&atl~,

&

le

mtlfrle acceffoire d"

profo~d;

le;

mrfs

($

les v air–

fo(l1l.~,(,

plantaireJ

1

ks

nJrljc/el

fllch;f[t:m>J

courtl.

d"

gros

orte,!)

le

murcie

ahdullel/.r

tr(lnrtJ~rflll

dTl mu ue.,

lelO

mufclu ¡neé,'oOeux interne!;

1.es

exterl1es

paroHrclH

en

dchors,

&

la ' maífe mllfculair! qui fajt le bord externe

d.

la

plante du pié,

el<

qui re di

viCe

en mufcle

",Ita–

tarfin

&

murcie

abd"él<tt,

du pent 0rteil.

C-e

",.,je/.

~f1

d.

M'. P

E

T

(T,

dQf!.

el?

Medee. profcfT.

en

A,,,,._

de /'fund. des

SCi~11C,

H O

M M E,

(,)!Jat.

IIud.)

le corps humain fournit

pluliellrs rellldes

iI

la Médecine, foi,

talldi~

qu'jJ jotiit

de la vie, fi,it apres qu'iI a cerré de vivro .

Le corps vlvant donne la Calivc, le f!:m."

)'urine,

la

~ire

des orcilles

&

la

tiente. On retir/:

QU

eadavre

la

~raiífe,

les poils, les ongles

&

le edne.

Voyez

~<S

4""lcs particuliers. (b)

H o

M M E,

r.

m.

(/liforal,.)

ae mot nra de fignifi–

carian pr.éciFe, qu'autant

qll'i1

nqus

rapp~lIe

tOUl ce

que

nOllS rOmn1CS;

mais

Ce

que 1l0\lS 1"ommes

nc

peue

pas

~trc

eompris dans \lne définition : pour en

mon~rgr

feulemem uue partie , il faut eneore des divifiQns

-.5;:

des

dérails. Nous ne parlerons point iei de norre forme

cxtérieurc, ni de

l'org:m if:uioll

qui nous

J'anke

daos la

claífe ' des animaux .

Voye::.

H O"

M E ,

(Analomie) .

L 'hqmme

que nans eontidl!rons eH

CC(

ctrc

ql1i

pcprc,

qui vcut

&

qui

a~i[,

(1)

N

l\le:

Cl'hercherons

done fcq–

lement quels Cont les relTorts qui le tont mouvQir

&

les motifs qui

le

détenninenr . Ce qui peut rendre cet

exaln en

épinel1x,

e'efl qu'on ne voit

pOill~

dans I'erpcce

un ...raacre dillilla:f auquel on p\liífc recoullotrrj:

tou~

les individ11S. 11 Y a tanr de diftc«nee eutre

I~urs

aélinns , qu'oll feroit remé d'en Cupporer daus le\lfs

m.'t'fs . D epuis l'crc\ave qui nate

indi~nement

Con mal–

[r~,

jufqu'a Thamas qui égorge

de~

tl]llIiers de fes [eI11.

F

f

'

!1lable. ,

rlJl'f. n (aiene (ynonimes , puis que (uiunt le1 principes

rnl:me~

d'lt

J'au~,:ur

de:

¡'.::Inicle

pmfi,

i1

n'y

a

poinl

de

mon abrolumcnt (rno–

'limc!,

Done

t'lOt

aa

meoins

1.1

ddfioition que 40nne de I'Horum,

J'

Autcur

Je cce

anide (era \·iclcu(e !'H a vonlu par

FtI!!r,

t:~pri­

mer

f'

lI.ir.

"

Prene~

done mieux le

(ens

du mot

'I.siron.

aacordez.l:\

a

l'homme

comlDe

dIe

10i

convient •

&

cn

t~rmcs

c1airt

&:.

ab(ohu;

& '

vou~

trouverc:z dans l1dpéce ce c.1raaére diA:in8::if qu'apparc:mment

\'OU'

n'y

\'onlc2o p.oine trouvcr. ce

c:'lraa~rc

qui eft

propre ;\ I'hct.nme

(eul

&

qui

11:

J,rHogue de

tOUS

Ic, individus, Comment vous peuc–

il €tre venll en

létl!

J\!

préeendre

qUI!

ce cJn,fiére eott(¡{tc:. corn–

Illo il

{cmble

qU\! VOtJl

le

J~6rc2o,

dans une

identité

de rdfort$

moq_

V..l'ls ,

:se

de mOlif,s JlStermin,\ru les individut de l'e(péce

huro:ai.

nI!

l

Cene identité eA: incompatible avec la

liberc~

de I'homrpe .

aUlre c,ua8::ére t.liAinelif de l'e(pécl:, qui en ennoblit

phu

qu'au-

cun autre la cOlhlition.

U

:1

'"

ditet

VOlU,

t'l/If

dt ,Uff¡rtntt tnrrt I,url

"Elio'"

']u'("

f-–

",t

ttn'r

d'".

{I'pp.r"r

d~lIs

Iturl

mot'II ,

ahbnnJunnc20 vous Je srace

~

ccne u:nc:1tion; ne

vcu~

contraignt'2o pac, ola

iI

n'en

el't

r:'\I

be–

roin , Ne (uppo(ez Fas rculement , mais ::a.flirmcz que

lc~, motl~

tles

aaiolu

de.!!

l-¡ommcs

(ont auffi dilf':rcns que ce, alHons , Je erois

que

P,l(

mo;.jf,

\'O\l¡-

enlendel.

te,

mOlifs déecrmina{1$,

e'en·~·dire

~omrne

¡'cntend tout le monJe, ces jll.t::cmens qu'on 2ppelle

ttlri–

ma

&

prrtl1iu,

Ccs jugemens quolque

diA~rcl\s

c{'lnVznnCnl

cef.en

-

~~~atn:O~!:~~s b~nne. ~~beie~ne'n l~\,~~n;~:t~~b~~c~~on ~:.;~: ~~~:

V2is, Cene eor¡"éoanec vieo!

du 4!jir

du

.it"

¡trt

r.:ntiment

iC'n~

&

com!!¡un

a

tOl1t

em~

1I;1I4/1t

6'

flntant,

Serit:~

vous an'ez fujet.

olUX

temadon\ f\ou r étre tcnté de ruppu(er encore de la rlur:tlité

&:

de \" dhrer(itl:

~e motif~

d~

la nature do

et

dtfir

ti..

6¡,~

c'trt

1

11

n'y

:l

rien qe

plus f:lcile

que de le eoncc\'oir feul, (ollrce unique

&

fécon.le

,

8.:

commune Cn méme

tcms

de.

1I11.,i/r/s

r:ms

nombre

que I'on voit

ct':lnS

!t'e

::..aions qu'il produi[.

dtpu¡'J

1',(cl(SlJt

911i

foitt ,'ntlt&"(PJtllf

/in

Tlu:,,, ,

j Jlft¡u';'

Th411l4$

9ui

~/..rl,C

da

t¡lUlitrJ

/.'

''''''''im

p,,,r nt

tI,i., ptr{.nn.e

dH

~t.8'.'

¿,

I,.j,

tZ)