ofé le laiífer. Ainfi, cótne
fi
jai'auois efié
receu en
la
continuation du feruice que
ie pretends, ie n'ay peu a autre
qu'a
vo~s
offrir cefi:e mienne traduétion, .qui dif–
court des Indes occidentales .,
& J
des ter–
res neuues'
~ui
iufques
a
prefe~t
ont efi:é
defcouuertés : en attendant
q~e
la
foll~-:'
ne me prefente vne -occafió plus üiffifan–
te pour vous faire vn feruice plus aggrea–
ble. le vous fupplie done Monfeígneur,
qu,il vous plaife receuoir ce míen
~u~re
comme auez .-accouftümé prendre tout
ce, qui auec vnebonne intention part' de
rvn des vofires. En ce faifant ie m'aífetire
1
que ce liure courant par entre les mains
.e
es hótnes foubs
1'
ombre de vofi:re gran;–
deut fcra m.ieux receu .d'vn chacun,&me
donnerez ·courage de continuel!'-le [er)Ji–
ce que ievous doibs.Qg_i {era pour fin ou
MonfeigneLlr ie prieray le Createur vous
donner en fanté longwe
&
heuremfe vie.
De -\roftre maifon de
Marly
}e Chafiel, ce
fcptiefme de S
eptembr~.
_
Voflre trefhumble
&.
trefajfeE!ionné
feruiteur,
M.
Fumée.