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s
L E
s
IND
!
s.
4
01
uoient
daigne
le
croire,
ny
arder l,ordre
donne
pour
la
Ba
tail .. ''
Jc,
comme
en
effi
Cl il difoic vray:
L,autre
venoit de
Laurens
u
d'Aldana,
u
il
d
fcriu oit
en
peu de
mots rout
le
fucccz
du "
Cumbat, qu,il difoic
nuoir
efle
do1
re
con
ere lcs fentimcns
de
tousles
principaux
de l'
Arm' .
Cetre
Lettre
contenoic
ces"
paroles, tirees
mot a m ot de ce qu,cn '
rit
le
Palentin.
" .
lentl0)'4J
~1mrly
demi
r 'tme
Leflr.e
a
'1.:ojlre
Sogncurte ,
p11r
!tt–
qaelle ie
ltry
dQmJou
ad1tu
de
ce
q11e
/
11 1tois 1oujio11rs
a
pprebende:
I
e
t'cru
a
pcme acht'11/e
qr/v/J matmats
Demon,
qtti
p~ffe
doi
t
le
M
arej–
ch11f,
lent
r,j011drl
tie
donner
B
t11ille
a
Fr.11JfOiS
fl
rlitlnaez)
&
de
faller
:i1tttq11er i11/q11es
d11nJ
fas
Retranchemau,
contre
l'oprnion
de
toru,
&
de
moy
p 1rtrc1duremcnt
:
D'o1't
ii
efl
ad11enu,
q11e
po11r ne
nou
tl!Joirvoul11
cr~ire,
tl
a ejll 6
ttlu
par Franfois
H crn11ndcz,
'l"i
par
!J.
D
'rotue
qu'd
en
a
fi1ite,
nous
11
tue
qu11ntid
degens) dont
nous
neJi1iuom
p.u le
n1Jmbte,
&
contraint
le
1"\tf
arcfch.rlde
fiiire
R
trttit–
te,
(tpres auoirefle
6ief!d
ie ne
Jiay
comment;
car ce
n,a
cjN
ny
dans
le
Combat,
ny
a fallictter
fls
c rns
de s'y
porter en bomme
s
de
Ctl'llr.
Les
Audiceurs
efl:ant affeurez
de
1
perce du
Marefchal, con–
clurent entr'eux
de faire
marcher
r
Armee
>
fous
les
ordres
de
Fran~ois
Hernandez Giron,
&
mefme
ii
furent
d'aduis
que
le
Officiers
de
r
Audience Royale I
foiuiffenr. Le Palen tin I af–
feur"'
ainG, quand il
die:
~e
eel
a
fe
fie,
&
pour
luy
donner
c
plus de
credit>
&
pour empefcher qu,on ne murmuraft
de
ce
c
que
les
Officiers de luflice n' giffoient point. Neanrmoins
u
com
me
cette
affaire
la
fut
propofee, le
Licenc ic
Altamirano
n'en demeur pas d'accord, difant que le Confeil ne pouuoic"
foiure,
pource
quel'mtention du
Roy
ftoit qu,d
ne bougeafi:
cc
de Lima:
D~ ou
il
concluoir,
~e
les Auditeurs ne d euoient pas
u
fortir, fans vn ex
re~
c;
m ndement, puis qu'auffi bien ce qu'ils (
ordonn
er
o
i
en
t
a
i
11
eu
rs
q
u' en
1
a
Vi
11 e de
J
eu r
fi
dcn ce , n e
~
-
roic
pas
receuable. Surquoy le
Dolteur Xaraui s>ell:antvoulu
u
opiniafl:rer, pour
quelque
raifon qu'tl mit en au ant, Alramira. "
no ref
pondtt
~-- tl
ne forciroir point
re f
olnme nt; pource q ue "
leRoynel'auo1tpa
enuo
elapourcomb
ttr\m
ispouriu
0
er"
des procez,,
& adminilher
la
lufi ice.
Cc
contrafie
~
finit
par"
vne menafI>
q
e luy
fit
le DoC\:eut X ra ia,
d~
le
fufpendre
cle
fa
Charge,
s'1l
ne
fu
iuoic I' Arrnee,
&
q
n' il
enioindro1t aux Of- '
6cters
R
ya
ix
de
1e
l
u
y
pay
r
aucun
fa1
ires.
Ce
qn '1 l
enuo a
cc
fignifierauffi.coft,
bicn quc
d
pu1s
il ne laiffi
pas
d
lereccuoir>
u
£.Ee
¥')f.
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