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entiérement réformés , car 1'-Impéra:--;.
.
~7.39·
trice régnante ne les fauroit
fouffriro.
Pour Pierre
I il en a
été
grand
partifan;
il
en a
eu fouvent jufqu'a
~ou+e
&
plus.
~neo
reo
L'Impératrice Anne
en
avoit úx
~
favoir , la Cofia,
Pedrillo,
un
Knais.
Galítzi11,
un
Knais
W
olchonsky,
Apra–
:xin
&
Balakrew. On voit par les noins
que
ces quatre derniers étoient choiGs.
entre les familles les plus anciennes
d~.
la Nobleífe
Ruffe. Car
Wolschonsky
eft
le propre beau-frere
du
Comte de
Befr uchef, préfentement Grand-Chan–
Cellier; fon emploi étoit d'avoiJ; foin
de
la levrette de l'Itnpérátrice.
L a maniere dont cette Princeífe
s' amufoit de ces gens-la
étoit
' rres-íin-.
g uliere. Quelquefois elle les faifoit ran–
ger tout droit contre le mur
de
la tham–
b re ;
un
d'
entre eux donnoit
le
croc-en–
jambe aux autres,
&
les faifoit
~omber
le
cul par terre. Souvent
faifan~
des lur.,.
tes , i ls fe tiroient par les cheveux ,
&
fe
battoient jufqu ' au fang.
Sa
Majefl:é
&
toute fa Cour , enchantées de
ce
fpeB::a cle , s'
en m ouroient
de rire.
Baldk !ew,
qui
n' a:imoi~
p':ls
(:ett~