l>V
CáEV"
GRANDISSON.
1.
E T T R E
X L V I l.
( Renfermée dans la précédente ).
Sir
CH.ARLES GR.A.NDissoN,
ali
.Joc7eur
BAR LE T.
Vendredi ,
7
Mars.
e
ET
TE
nuit} cher Joél:eur , j'ai
VU
mem·e en terre les reíl:es de mon digne ami
M. Da.nby. J'avoisdonné ordre que fes deu;
neveux
&
fa niece fuífent invités
a
la céré–
monie funebre; mais ils n'y ont point paru.
Comme le tefl:ament ne devoit etre ouvert
qu'apres les funérailles,
&
que M. Danby
m'avoit expliqué verbalement fon inrention
force point, je leur ai fait propofer ce marin
d'affiíl:er
a
l'ouverture. Leur procureur,
qui
fe
nomme M. Sylvefl:re, eíl:venum'apporrer
une leme Ggnée de taus les trois, par 1aquelle
ils s'excufenr, fous des prérexres fon légers,
en me prianr de trouver bon qu'il rienne leur
place. Je lui ai fait entendre que cette con–
duire n'étoit ni refpeél:ueufe pour la mémoire
de leur onde, ni civile·pour moi. Il en eíl:
convenu fort honneremenr; ma1s ilm'a dit,
pout les juíl:ifier , que M. Danby leur ayant
fairfavoir ,peu de temps avant
fa
morr, qu'il
avoit fair un teframenr, qu'ils ne devoienr
pa~
A
2.