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N'eíl:-ce pas précifémenr le malheur
'de
M.
. Anderfou.?..
Charfotte appréhende quelque bfame
fo•:
€e poinr ; mais coníidérons quelle étoit
fa
íiruation. Je n'en répéterai pas les circonf–
rances;
il
eíl: douloureu;i,¡, pour moi que mes
freurs aie1:it pu
s:y
rrouven
A
l'égard de l'ar–
tifice du capitaine.,., pour
[e
faire valoir par
la mai.n d:un autre, je vonviens que c'eíl
un Cu;er:-
efe
mépris aux- yeux d'une femme
qui fe fait honneur.c:Jle-meme de bien écrire
¡,
mais de qu()i n'elf-on pas- capable, pour ar–
river au p.oint ou le creur
[e
fixe? Cene.
méthode n'eil pas nouvelle. On rapporre
qu'une dame célebre s'en fervit heureufe·
lnent pour obtenir
la
faveur. d'.un grand
mo·
narque, aux dépen5 d'une :mtre
clame
qui1
employoitfes fer
vices. Concl¡¡onsfeulement
9ue les, femmes
doive.nt etr,e. bien sltres
de
leur chaix,. avant que d'accorder leur con·
/jance aux hommes. Miladi
le
lz.a"iroit,
pour
avoir expofé
fa
réputation..• Elle me per-·
rnetrra. de répondre,. qu'une fem
me qu,ine
ve.utpas erre expo[ée
>
ne
dóit
jama.is(e-.
uvrer
a
la
difcrétion d'autrui. O mifs
Byron
!.
(en
fe
t<>urnant vers moi, qui n'étois que
trop difpo!.ee
a
me faire -Eapplication
d'une.
partie de fon oonfeil) ayez la bonté d'aver–
~·Ü-
qpel9uefois ma pupille:, qu'elle-_ ne
d~it
~maIS
auner un homme, fa1-1s erre bien
sur~
-d.'eH
&ri:e
aimée; qu'elle
tie
d.oit
jamais
hu
f.:tire wru10U-re
l'afce1;idan
t -qu,i}·a-
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-dle
>•
Íans.-
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