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v.
GRAN Dt'S
s
ON.
l.Ottépondre, lorqu'on me preífe de
leve
r fo_
rideau,
&
d'éloignerlesdlguifementsau
ttavers
de[quels
un enfant, en amour; me devÍlleroit.
M'ouvrirai-je enriérement? Je dois cetre con-.
1
fiance
a
des perfonnes
fi
refpeétables
&
fi.
cheres,
dont lesJentiments s'accordent avee
les
miens.
Padons. J'avoue done qu'il m'eíl:
im")
poffible d'écouter tour autre homme. Cepen-
• dant, je n'ai pas la moindre efpérar1ce. Je
me regarde comme une préfompmeufe,
&
hú
comme trof fopérieur
a
moi. Son bien
eíl:
immenf€; i en attend encore plus ;
&
pour lemérite perfo1mel , oú rrouver une
fem.medigne de lui?
Su(
l'article meme de
la fortune, vousjugezquelaprudenceoblige
un homme
fi
libéral
&
fi
m;ignifique ,
de
poner fes vues plus haur.
Ainíi , ma ch.ere tanre, ayez la bonté
1'
conformément
,a,
l'
avis de má grand'maman,
de dire, en mon nom ,
·a
miladi
D......
que
je crois
fa
franchife digne de tm1te la mienne;
que vorre
nie~
étoir abfolument libre dans
fCs affeéhons, lorfque vous lui avez rendu
ce témoignage ; mais qae les temps
&
les
circor&ances fonr changés. Dites -lui que je
me fuís trouvée
d'
abord
engagée
par
la
reconnoiífance; que <lans
1'
origine ce n'é–
toit ríen de Rlus : mais q
u'étant interrogée
aujourd'hui fur l'état de
m.oncreur, j'ai
rcconnu quema reconn
oiífance eíl:
exaltée
(car je ne dois pas díre
abaiffée
,
lorfque
l'objet en eíl:
fi
digne) en d'ai;¡rres
fenri–
oeacs..... ditei en
am~ur
1
puifque
j'
emencl:s