C-
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de tronblerla paix... ( M.\1. Maury etCa:z.-1les de.,.
~ander:it
·1a parole ). S'il
est
vnii que
nous
voulions
~ous conc~urir
a
l_<t
paix;
s'it est vrai
que. cette resista nce
-ne
soit pas un
moyen
trop
connu
dan~
nos
annales ,
pGuf
fa~re
" prevaloir
l'auto,£iti~
ultramo
1
ntaine , on
doit
se contenter
de la
decfarat~on
milfo
fois
fait~ ,
et non
a
falre, que
l'assemblee
n';i
P:l.:5
atten,ce
au ;
piri.iu.el;(
11 s-'eien,
~~s
·_ mur_nrnrns
dans
la
partie
droite ).
!.~·
s1~ pplie
la partie
de
l'as–
semblee
qui
m'intcrrompt ,
d'o~server
que
je
ne·
vise
pas
.a
un
evechc.
p
est
evident
que
l'heure fatal'e
est
1.rdvee
que '
l'operation
commenc6e est
Mgale. Ji>our qu'elle soit·
com–
plett ~ment
eonsothmee,
j ~
demimde qu'aprh
une
nquvelle
iaterpel1ation , on
adopte'
la'
seconde motion de M .
.Barnave , ann
que
les mes.ures
detret~es
par
l'assemblee fiationale
soient
graduelletnent
executees
».
'
A ')res une
sec0nd~ interpellario~
ge nerale,
la seconde
motion de
.M.
Barnave
fot
ae–
c.retee
ainsi qu'il
su·
t.
>'
L'assemblee nationale charge
so'fol
pre–
>'
s;d.::fit de se
retirer <levers
le r o: , pour
«
lu i r .: mettre les extraits des
proces-ver–
»
baux
des
seances cl.e
l'as~embl ee
nationale ,
r>
depuis le
26
dCcembre , et pour le
prier