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se
demontrer par
la
stu~titution
d'un seut
mot. Il
-veut
que l'assemblee
d~dare .
qu'ell11
n'a
pas entendu
toucher
au
spirituel ' tandis
que
tout
c~
Cjll'on pourtoit dire,- c'<st
que
l'assernblee
n'a pas touclu!
au spirituel. (
La
· partie gauche applaudit ) . Voila tout ce que
le
pre~ident
aux ordres de l'assemblee , a di.t
~.t
pu dire,
t'est .
que
l'assern~lee
n'a
p:tJ
tou.–
che
au spiritueL
(
Plusieurs mempres
de
la partie droite,
Elle
y_
a touche. ).
MI.KAI.EAU.
II
est bien evident que ce
n'est point une veritable issue' pour sortir
de
la difficulte qu'on veut faire naitre; tar il
n'y
a plus de di:fficulte ; car l'operation est
consommee.
n
est bien evident q_ue ce n'est
pas une veritable issue ; (ar toute la
diffi–
culte , s'1l pouvoit
y
en avoir , seroit que
les dissidens
appellen~
spiri1.uel
,
ce que I'as–
semblee appelle
temporel.
(
On. applauclit.–
Plusieurs voix de la droite font entenclre ces
mots :
ajourez
contre sa
conscience)~
Elle
est
fondee sur cette observation bien
palpable que
les
demarcatio~s
diocesaines
sont evidemment un
fait
tempo rel. II ne nous
reste done qu'un parti
a
prer.tdre. S'il est
vrai
qu'orl
n'<llit pas une intention seciette