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~Il.
ti~1es
' 'je paffe
a
la logique de M. SolignCIC ;
elle
me paroit non moins fublime
que
fes
expediens d'homme d'etat. Je
l'entends
dire: (
1)
non certainement je ne propofe pas une
rifonte
'fleRerale
de nos monnoies,
Ce
n'eji
pas
/a
OlOl'l
idee
pour
le
momt.nt;il
fattt
bim
fa
garder main–
tcnant
d'y
prear
l'oreille ,
ni
foulemerzt d'y
penfar.
Et
c epen~ar:it
c'efr
une
refonte !_;enerale
qu'il
vous
propof~;
car
il
veut premierement,
(2)
qu'a
commencer
du
premier janvier
tres·procli~1in,
on
Jaffe de nouveaux
louis
de 3
o
au
mare
,
&
qu'on combine tellement cette refonte
avec
·celle de .l'argent, que dans quatre ans
il
n'y
ait
plus de louis aauels dans le commerce.
II
veut
(3),
fecondement, qu'a commeFTct:r
auffi
au
premier Janvier procliain, on
Jaffe
4e
la
nort•
11elle monmiie
d'
ar1ent
an
me.Jte
coin des ntJutleau:>:
iouis
;
& comme
il
reduit les atteliers
mom~.taires
a
fix
(.+)'
&
qu'en confequence la
fa–
brication fe fera plus lentemcnt,
il
vons pro–
pofe
de
ne decrier les ecus aauels que
dans
d'ix,
ans. Certes,
il
ne faut
~tre
ni
un grand
( 1)
Page
1.,, ,
de111Xieme
&
troifieme alinea.
( 2) Page 13. lignc to,
jufqu'a
la
fin
de
la page
14,
'(J)
Page
14.
(4)
Pa!!,C
ii.