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faut un
principe de vie
pour se
remuer;
_pour agir et pour reproduire
!
Certes , ce
S€roit
la
vraiment le che:f-d'reuvre de
l'inven–
tion , la
pi
erre philosophale des finan ces, si,
sans argent et sans ricn qui le remplace,
sans crédit quelconque, au sein d'!1ne inertic
qui nous tue
1,
nous trouvions le moy<: n de
révivifie .
tout-a-coup les affaircs, et de res–
susciter, comme par enchan ·ement, travail,
industrie, commerce , abondaroce
!
~~
»
Ce que nous pourrions attendre
a
peine
d'un miracle , nous pouvons
l'espérer ,
de
moyen3 adaptés
a
notre but. C'est le
nu–
méraire qui crée le numéraire
;
c'est ce mobile
de !'industrie qui amene
l'abondance ; e'est
le mouvement qui anime tout , qui répare
tout : au lieu que
la misere est
toujours
misere ; et qu'avec elle, sans courage, sans
expédiens pour en sortir , il
n'y
a qu'une
ruine entiere
a
envisager.
J
etez
done dans la
société ce germe de
vit?
qui lui manque ;
et vous verrez
a
quel degré de prospérité
et
de
splend~mr,
vous pourrez dans peu vous
élever.
>~
H
Combien ' messieurs ' avec tout le
zele
qui nous anime elans nos
travaux , nous
~ommes
tardifs
néanmoin~
en certaines
chose~
!