(
~1.
)
nion , et du courage ele
la nécessité; nou§
déclarons la vérité; ce qui n'existoit qu'en
systeme devient une loi ;
les. biens ecclé–
siastiques ,
réunis aux biens
du
domaine ;
sont
reconnus nationaux . ;
et
la
France .;
qui ne voyoit que · le gouffre , voit
alors
de quoi le coml:Jer
~
et
respire pleioe d'es-
'
pctrance.
~'
H
Cependan t il
y
avoit loin encore de
la
déclaration d un droit
a
son exercice; et
cet
exercice ne pouvoit plus &tre
retard~.
A l'excé–
dent des dép enses sur les
recettes· ordinaires
~
se joignoit un déchet énorme d@s revenus,.
qui
s'augmentoit
de jour en jour par l'état
déplorable du royaume, et la
~tagnation
de·
toutes les affaires .
Mil.lebesoin$, mille dan-·
gers soll icitoient
a renvie
des
secours ·;
et
~ans
le petit nombre d'expédiens
qu~
se
pré–
senteient , celui qui parut le plus efficace
'
.
1\
/\
ff
V
..1'
'
reunit par- a
meme vos
su
rages.
ous tLecre-
tates successivement' que
l'on
procéderoit
a'
la vente de
400
millions de biens nationaux;
et qu'
en
attendant que
la
vente en
ff1t
effectuée,
le gage de cette vente et
son produit
anticipé
tiendroient lieu de numéraire. Vous créates
a
Cet effi
t,
SOUS
le
nom
d'assignats, des billetS,'
I