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de me taire sur la nécessité pressa.nte de cher...
c:her d€s précautions contre les terribles et
innombrables abus dont cette partie de l'acl–
ministration
e~c16siastiqucs
couve maintenant
les germes. Tant que vous n"!aurez pas trouvé
dans votre sagesse un moy€n de faire
agir
ce ressort de la religion selon une.détermination
consentrique au mouvement du patriotisme·
et de la
liberté ,
je ne saurois
voir autre
chose ' dans les tribunaux sacrés· qu'une loi
sans doute irréfragable et divine a érigés dans
l'enceinte de . nos temples , que les
trones
d'une puissance adverse et cachee-, qui ne
croita jamais templir sa destinée,
qu'autant
qu'elle fera servir ses
invisibles
ressources
a
miner
sotirdemcnt
les
fondemens
de la cons-
/ titution.
C'
cst
encore
la
un de ces grands
maux qui exigent
l'application d'un
prompt
et
pt~issant
remede.
~'
«
3
°.
Ce fut
aussi,
de tout
tems,
un grand
mal ,
que
cette multitude étonnante de
pretfes , qui a été
toujours
croissante
jusqu'A
nos jours ; et dont un tiers auroit sufffi aux
be-soins réels .du ministere ecclésiastiaue.
Cette
.1
cl.isproportion si
con
traire
a
l'
esprit et
a
la
,