Séance
du
1
3
nover,zhte.
Les memhres du
eÓté
droit de
!'
assemblée: ohs-
•
I
1
1
l
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1 •
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tlnes a
comeattre
pour a
cause
ti
es pre;uges
,
toujours
vaincus par les raisonnemens de
leurs
d
•
,
/
•
¿•
I
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a versaires, s etozent
secreuc:;.r::nt
zgues contre .. es
défenseurs dis;ingués
de la cause populaire.
MI
R ..4-
JJEA U
souvent provoqué, av:'Jit eu
le bon esprit
de résister
a
de pareilles attaques. En
cela
il
ser–
vit bien
la
ph.llosophie, il
donlir;>Ít
un exemplcde
GOUrage ..
bien préjerabfe
a
cefui
J¿
ces
spadassin.)
méprissables
qui sacrifiant toztt
a
leurs interéts per..a
sonnels,
a
leur
amour-propre
,
n'ont jamais
contiU
le véritable h.onneur
,
ni tamour d
~
la patrie.
MI
RAEEA U
avoit eu la-force
de
résister.
11-1.
de
Lameth
souvuU: insulté
,
aveit
cédJ enfin. ll
avoit
accepté un rendez_-vozts. M. de
Castties,
diputé
étoit son
adversaire.
ltl.
de Lat!zeth fut blessé.
L~
peuple inquiet du :wrt
d'wz
df- ses plus z_élés
dé–
fins~urs ~
ne vit plus dans cette aJTaire
qu'une
conjuraúpn
contre
ses
repré~e;uans
,
il
craignoit
da
perdre
un
ami.
Dtt.nsun grouppe rassemhlé aux Tuilleries, quel–
ques personnes assurent
que ...1}1. Lameth
est
dans le
plus grand
danger,
qu;il
faut
se
venger de
Af.
de
Castries. A
l'
instant on se
transp&rte
a
L'
hóteL
de
V
].,