(JO) )
u
pmtr se plaindre des calomnies tontinuelles
Jont il étoit l'ohjet; il ne disoit pas qu'il avoit
proyoqué la vengeance personnelle contre les députés
Corse; il ne disoit pas que l abbé Péretti étoit
monté
a
la tribune
'
armé d'un poignard .qu'il
dirigeoit contre
MIRABEAU ,
et dot:t ce denzier
auroit
été
atteint,
si
plusieur:;
de ses
colügues
n.e s'
d~r.Jient
jetté entre
lui
et son
assas.Hn.
MIRABEAU ..
~'
Si chacun faisoit ici la
reh~tion
de
s~s
faits personnels,
et venoit,
pour des
choses
aussi puériles, interrompre
vos im¡1ortantes
délibérations ,
il
seroir
pet.It-ctrc jusre
d~
d
,
1
·11· '1
•
/\
emanoer que
1a
tranqm
ite ,
a v1c meme
eles membres
de
cette assembiéc, fusscnt éga–
lement assnrés dans
Ja
tribuf.leet
dans
les
rues.
Si
l'on
vouloit
remuer tou
tes
les
ttirFi–
tudes qu'enfante !'esprit de parti , il ne seroit
pas difficile d'apporter des
preuves
de la vie
d '
J
1
,
'
•
d
b. '
un
aepute
menace au se111
e cette assem
lee.
Quant
a
moi ' qui méprise prcsque
a
l'égal
.les injures
.et
les
dénonciations
individuelles;
\
•
•
'
1
I
cp.12.nta
mo1,
qm pense qu éU..
~tant
lmc
aenon..
ci~tt?cn
reiative
a
la
cbosc
pubr
que est
un
cl
.
'
tvo\r
c'.:'c1·
0
.L
...,., ...
1.,
\,...'
l
1 /
o
•
T.,
r
•
autant a
uenonciat1011
u un
ra1t
T