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insensés
!
ils
nous reprochent
nos appels au
peuple. Eh! n'est-il c:fonc pas heureux
pour
(\
l
1
eux-memes que
a
terreur
aes
mouvemens
,
.
.
.
'
popu1aire:s cont1enne
encpre ceux
qui
mecon-
JJ.Oiss.en:
toute
loi,
toute raison, toute con...
yenance?
>'
~_, ~iessieurs ~
on se
flatteroit
en vain dé
faire
long-tems
Tcspecter ce qui
est
n~éprÍ-:
~able:.
et rien n'ést nlus
·méorisable
que le
J
L
L
.
désordre. On ·
nous
acense de
favoriser l"anar-
ehie, comme si
notre
honneur, notre gloire,.
notre slireté n'étoient
p~s unique~ent
dans: .
le
rétabli5sement
de r'ordre
!
1.\1ais
qu'·est~·ce
que
l'anarchie,
si ce
n'es.t
Je
_mépris
de
la
loi ; et
comment ·sera-t-elle
l'objet
de
la
I
I
•
~
1•
1
I .
.
I
d~
venerat1on put111que,
a
01 qm e·mane
un
foyer
de
tua~ulte
et de
scandalc? Comment
obéira-t-il
a
la
loi'
le peuple don
t.
les
légis- /
lateurs
foulent
s;,ins cesse aux pieds-
les
pre"'"
tniche,s
regles de la
discipline
sociale?
»
S'adressant au
coté
droi
t .•.•
~<
Savez-vous
Ce'
·que l"on a
dit
ce
matin
a
l'un
des principaux
chefs de la
f
ore~
ptrbl ique, qui , devant la
maison de M. Castries, parloit du res.pect
du
'
~
la loi? Ecoutez la réponse du
peuple
dans
son é_nergique
simplic~. té .
Pourquoi les . déput!s
JUt
la ,.tspectent-i!s
J'ft9
(
Dites-;
dites;.
qn~est~