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cesser d'etre
innocent. }'observe
que l'actiort
- de porter un sabre
a
la mún' ne seroit ni
un crime de lcze-majesté, ni un crime de
leze-nation. Ainsi,
tout
pesé,
tout
examiné,
la
déposit~cn
de M. V
dlfond
n'a
rien de
vra1m
~nt
facheux
que pour
.M. G.;maches,
qui se
trouve légalement et v éhémentement
soups:onné d'erre
fort
laid, puisqu'il me res ...
semble.
H
~~ ~vfais
voici
une preuve plus
posit~ve
que
M. Valfond a au
moins
la vt¡e bassc.
J'ai
dans cette
assemb1ée
un ami int ime,
et que
malgré
cette amitié connue, ¡Jcrsonne
n'o.:era
taxer
de
déloyaut:.-
ai
d._ mensonge , monsi eur
Lamarck.
J'
di pa5sé l'apres-midi
toute
enti
ere
du
5
octobre chez lui, en
tete-a-tete
avec
lui,
les yeux
fi:xés
sur
d es
cartes géogra–
phiques '
a
reconnohrc
des po: itions alors
tres-intéressantes
pour
les
provinces belgiques.
Ce
travail,
Cíni
absorboit toute
son
attention
et
qui
atit!roit toute
la mi enne, nous
occupa
jusqu,au mor.aent
011
M.
Lamarck me conduisit
a
l'assemblée
nationale'
d'ol.t
il me rameaa
chez moi .
.>~
>;
11::-..
is
dans
cette
soirée
il
est un
fait
remarquabl~
sur
1equel
j'attcste
7rt,f.
Lamarck;
c,est
qu'ayant
a
p~ine
employé
trois
minute~
N
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