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( 19

I

)

t111ent

q

ti

oL

ptcs~e

m0n

c~"-tr

depuis

une

annéc; et

CjUC

l'on force

enfin a

s'exhaler.

Dans ce!:te affaire le mépris est

a

coté de

la

bl-lin(¡; il

l'émousse,

il

l'amort!t;

et

quelle

ame assez a bj ecte • pour

qu~

l'occasion de

pard0nner

ne

lui

semble pas une

JOlllS–

sance

!

»

»

Ce

n'est

pas meme

la

difficulté de

parler

d

~s tempet~s

d'une

juste révoluticn .,

~ans

ra?peller que , si

le

treme

a des torts

a

ex–

c~1ser

,

la.

clémence nationa e a eu

des

cora–

pl0ts

a

mettre

en

oubli;

car puisqu'au

sein

de

l'üsse~A

blée,

Je

roi est venu adopter

notre

o:·ageu:e révolution;

cette volon_é

m2gna•

n ime '

en

faisant disparo:tre

a

ja71:

~s

les

a!>pa.rences déplorables , que de:: e ..ase.llers

pervers avoient données

jusqL

'dcrs

au pre–

m!er citoycn de

l'Empire ,

n'a-t-~1

e

1

J

3.:S

également effacé

les

apparences plus

f

n

1

sses,

qu~

le'l enncmis du bien pub

1

ic

rouloi

".)nt trou

er

d ns leJ

mouve

1ens

popuhires,

et

que la pro-

,U

ll

r

d

U

eh

ate

le

t

Se.

J

b1e a

V

O

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m · cr o1

j~t

de

rL

viver.,,

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~0·1,

la

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d·fücu1t~

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t

l rofot1<lt!mcnt

odieuse,

cer