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tances , qu'on vient
vou~
offrir
des rne–
Jiures - partielles ,
dans une maladie mal-
,
'
,
1
1}
neureusement.
trop genera1e, trop
ma
1eu-
reusE:ment _contagieuse. Je vi ens pour un mal
général offrir
des m esures
générales ;
sans
entrer
dans le détail
dép~oL1ble
des
1nsurrec–
tions
nülitaires
qui
se
manifc~tent
dans
les
différens points du
royaume,
je
vous
pric
de
rechcrcher si rien ne
prcuve
qu'dles sont
systérnatiques.
Vous
dev:cz
aussi remarquer
que
la
tendance
des
chos2s, et
l'esprit du
~
moment ont occasionné une action et une
réactlon qui
attaquent
le corps entier.
>>
un
corps ulcéré ne peut .pas
etre
pansé
p1aie
a
plaie'
ulcere
a
ulcere ;
rna;s il
fant
un.e transfusion de sang
nouvc¿_:u.
Entre
toutés
les causes
qui
ont subverti
1a
suLordinatj811
militaire,
j'en remarque deux
princ~pa"ies
:
1,.
l .
...l
h
.r.
•
d' ,
~
,
'\
impu s1on files
c1 eis,
qu1
anota
a
tenou
a
détraquer
en un
sens les
corps~
et
i'impulsion
de
l'esprit
d~. 1
momcnt
qui
a
ré2o i
par une
•J
~
terrible
action
contre
l'impu1sion qu'on
essayoit de
donner. Je pourrois prouver cette
théorie par des détails.
u·n
membre de cette
assemblée (
1)
a sur ce qui s'est passé
a
Hes-
(!)
M. Dubois de Crancé