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I~
)
priJ1c.ipes
tres-simples ' qui me conduisent
a
uµe conclusion ferme et sévere dans
des
circonstances difficiles; vous ne pouvez mollir
St}.IlS
danger,
S~ns
etre
indignes de
VOUS-:
memes ; vous ne pouvez punir sans défiance et
sans une grande
prév.oyanc~
de l'avenir. Je pro–
P?Se que l'assemblée pprte le décret
que
je
vai~
lire , et qui ,
mie~tx
que
le5
developpemens
tp1e
la contrariété
~'opinions
exigera
peut-etre,
· présentera ma théorie;
il
montrera
a
Cé\.IX
qui
prt>fessent
d~s
opinicns diyerses , que si je
leur
suis
également désagréable en ce moment,
e'est que je
ti
ens m: juste mi
licu :
or, la
justice et la vérité sont
la.
Voici le décret que
j'ai
l'honneur de
proppser:
--~
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assemn1e;e na
twna
e,
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trm
t€
par
1es
d:fférens
rapports qui lui
ont _'
Lé
faits du
mécontentement et de rinsnbordination dr-s
soldats ; consic!ér:!nt que la paix
publique
ne
1
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•
b
1
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peut suµsiskr ave e une armee insu oruonnee;
'
,
.
l.,
'
qu une
arme~
ne
peut
ex1ster
sans
· ooserva~
tion la plus
exacte
de
la-
discipline militairc;
q~1e
son :relachcment
a~tuel
provie11t
de ce
q~ie
l'organisation de la libcné publjque n'est
•
Í
l"'
T
po1nt
~ncore
comp1ettc ;
que
'orare sera
bientot rétabli
d~ms
l'armée,
lorsque
les so ldats.
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1
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~P,HOl)t
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paS
sc:;a:rer
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l.
.:ur devoir;
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