l'influence des Ioix
nouvelles.
Si cette
sep;ira.;
tion nous sembloit
indifferente,
et qu'une
sen–
sibilite compatissante ne
nous retint
pas, nous
.Ceclarerions
cechus de la
protection
des loix,
Jes
fils ingrats qui meconnoitroien
t
la
mere patri e,
~t
qui trouveroj ent ainsi, clans leur
pro
pre fo–
lie, sa trop juste puni tion )•.
~t
Mais que nous permettions
a
des resis–
tances partielles'
a
de pretendus interets
de
corps,
de
tro1.1bler
l'harmonie d'une
consti–
tution dont
)'egalite
politique,
c'est-a-dire,
le
droit inalienable de
tous
les hommes,
est
.la base imnniable, c'est ce que
ne
<loivent
pas
esper er
lcs ennemis du bien public. Et
quand
ils professent tout-,i-la-fois
tant de
mepris pour les loix et tant de respect pour
l'autorite d\tn seul; quand ils appellent
des
organes 1egaux de la volonte generale'
a
des
pactes
OU
a
la vo]onte arbitraire d'un
Seu},
col–
lusoirement aidee des pretentions aristocrati-
1:p1es qui
ench~inoient
ou
paralysoient
la
na–
tion,
ils professent d'inintelligibles absurdi–
tes,
OU
cachent
et
rechauffent
des
desseins
coupabl es. ))
)) Descendrai-je
a
ces
objections qu'on
a
tire
cles
definitions
d'un
parlement, d'une chambre
des vacations ,
de
l'ordre judiciaire , des