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comme si
le corps
legisla tif, qu.1 n'
est
.l-
as
le pouvoir legislatif, av.oit, s.ins nul con–
cours du monarque, l'attribuiion
exclusive
de
la
volon
te
! ,,
'>
Troisieme article. Nous sommes d'ac–
cord.
H
'' Quatrieme
article.
Vous
avez
pretendu
que je
n'avois
exige la
notification que dc:!ns
le cas
d'ho~tilite
; que
j'avois
suppose
que
toute hostilite etoit
une guerre;
et qu'ainsi
je laissois
faire la guerrc sans le concours
du corps
legislatif.
Quelle insigne mauvaise
foi _
!
J'ai exige la . notification clans
le c'1s
d'
hostilit/;:, imminentes ou
c@mmencdes,
d'un allii
a
soutenir
'
d' ztn droit
a
conseryer par la fo rce
des armes:
ai-je ou non compris
tou~
les
c2s?
Oli
est
le
piege?
>'
'' J'ai dit clans
mon
discours, que
souvent
des hostilites precederoient toute delibera–
tion-; j'ai dit que ces hostilites pourroi en t
etre telles que
l'~t~}
de guerre
flit
commence :
qu'avez-vous
repondu
?
Qu'il
n'y
avoit guerre
que par la declaration de guerre. Mais d.iJpu–
tons-nous
6tlr
les choses ou sur les mots
?
Vous avez dit
serieu~ement
ce que
rvt
de
Bougainville disoit au combat de la Grenade,
dans un moment de
gaite
hero1gue ; ks bo
1
.~
A
a
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