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1
7 )
<!es rn!ni
~ t
·es in1pies,
ordonnant
des
gu.erres
e)~ccrables
po tr
se
rendre
necessaires
pour ecarter un ri al. lei j'ai vu l'Europe in–
cendiee pour le gand d'une duchesse trop tar
ramassc.
J
e me suis peint ce roi guerrier
e
conqucrant
, s'attachant ses soldats par
ka
corruption et par la victoire , tente de rede-
eni~
despote
en rentrant dans ses etats,
fo–
mentant un
parti au-dedans de l'empire ,
et
r~nvcrsant
les loix avec ce
mem
bras que les
loix seules avoient arme.
>>
... Eh hien
!
messieurs ,
discuton~
ces oh-:
jections , examinons si les moyens que l'on.
propose pour ecarter ces dangers n'en feron
pas naitre d,autres non moins funestes, non
rnoins
redoutables
a
la
Eberte
publique.
~~
"Je ne dirai qu'un mot sur les pricipes. Sans
doute le roi
n~est
point
l'organe
de la volont
~
publique,
u1ais
il
n'est
point
etranger
non
plui
~
i'
expression de cette volo nte.
Aingi
lorsqt e
je me borne
a
demander le concours des deux
<le1
'gues
de la
nation ,
je suis
parfa~t cn:ent
clan
les principes constitutionnels.
»
"' D,un
au.tre
cote ,
je vous prie d'obser-
7'
r
~
t'e
e
am~naBt
si l'on
doit C!ttribuer le
tlroit
de souvera i
ete
a
t (.:11
del
I
o n
f
de
la
na
tio
plut ,!'
t
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