398 / 476
(
328
}
,' ccfpitale avec des
avanturiers
agioteurs,
ayee
ces
vampi_re; .dont tout
-I'art .
est de pressur~r
. vos·
peuples_ pour verser dans votre trésor
ce
métal ,
a
la possession
duquel
aboutissoit
cttte
atroce polit{que;
ils
auroient enfin, _par im-
- puissanee et
~pres
une
,longue suite de
mal- .
heurs ,
violé la foi
·publi_q\1e,
et déshonoré
vot:re
regne ....
Vous
nous
arrétez, Sire, votre
humanité '
se révolte;
vous
nous accuscz de
<;harger
de c;puleurs sombres des- projets av~c
lesquels vous ne pensez pas
uu~aucun
homme
l
'
ait
été
ass ez téméraire pour vous approcher. ,)
· ,
<<
Muis,
Sire _,
nous
jugeons par
ce
q'u'ils
ont
, fait,
de
ce
qu'ils vouloient faire; ils
nous
oht
calornnié;
ils v~us
ont
fait
suppo.ser
que .
l'"asse-mblée
nationale
ne
s'occuperoit
pas des
í!!a:vaux dont elle é.toit chargée; ils
vous
ont
~út ·
<léclarer
que
les veeux des peuples
vous
étant connus: par
leurs
cahiers, vous
ferie;
seul le bien
pour
lequel nous étions
convo–
qués. Voila le
secret de leur cosur et, le 'but
unique
de
leurs des.~rs.
Ils
ont voulu nous
rendre -
inutilE:.s;
ils ont_voulu nons
dissoudre;
i!s
ont voulu repousser la
constitution
et
l'étou:ffer
da'ns
son berceau
meme.
1
~~
., Qu'ils nou,s le
disent, s\1s l'osent la na–
tion
auro.it~elle pris 4e
la /
con:fümce
dans
cfos
-
/'
•I .
'
J