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9°
r
si0n de vous entretenir, est le pfos
u.tgent
de .
tous
l_e~
intérets.
Mais ,
messieurs /'
si
le péril
que
j'
ose
vous dénu11'cet mena
ce to1it
a
la
fois
et la paix dtr royaume, et l'as~emblée ,natio–
nale _, et la
sur~té
du monatqtie ;
vous
aprou-
, 1 L '
d
., .
v.erez mon ze· c. e_peu le
momens
que
J
a.1
eu · pour rassembler mes idées , ne ine per–
·mettra p,as sans doute de letír donner
to.utle
développement
nécessaire;
maisj'en dirai assez
p.our éveiller vofre att,mtíon ; etvos lümieres
suppléeront
a
mon i~suffis¡nc.é. ,
>~ -
V
~uil1ez ,
rpessieurs , vous replacer
au
~
1nome11t
011
la viol~tion des prisons
_ie
l'ab–
baye.
_Saint-Ge~main occasiohna .
~oti-e
arreté
rlú
premíer de
ce
mois. En -"ihvoquant la
dé–
menee . d.u roi . póur les
person,nes
qui
p~mr-
.roien.t
s'etr~
re~dues
coup~bles'
l'ássemblée
, décréta que le ·rói seroit
supplie- .
dé
11~ulóir
bien ' employer .
p.ou-r l~· ~établíssement de
' l'
ordre.
le!i
moyens infailtibles
de
la
c-l'émáice et
·11:e
la
Jonté
, ,
si naturels
a
son c<¡,ur
!>
ú
de la_eonfian-u.
que son bon
peuple
m-ériíer4
toújo"Ii;s~
.,
>>
Le roi, dans sa Jéponse, a déclaré
qti'il
t~p1_1voit
c;et
arreté fort
s~ge ;
il
<! _
donné
>
'
des
~loges ' aU:x
d~spositio"ns
que
l'assemhÍee
l
'
'
•
,
,
·
lui
t-é.rnoig1;1oit , et
próf.éré ces
t;nots remar-
},¡.
q~ab.les
f
td.ntqzie
vous
;,Le
áo1úzetet
.des. ·
mar-
)'