,\
í
( 2c)O)
frchess:es
d-e
Sa.1nt -Pqmingue ~- un tab1ealt
plus ingénieux
que ressemblant.
»
Au t este , ce n'est pas des
richesses
de
Saint -
D ~.m~ngue '
dont j l ·
est ici question ;
c'est de 5av9ir s'il faut suivre pour -S-aint...
Domingue
une
autré proporúon de
députa-–
t icn que
celle suivie
~ans toutes
les
parties·
de la
France
>~.
<<,
M .
de
Si1léry
a , dit que l'établissen{ent
d~~
· Cdonies est superhe ,
c_p1'il
est susceptible
él'accroissement. · Je rép'onds que nous aussi ,. ·
somtnes susceptibles d'un
.grand
accro1sse-.
ment
>>.
·(< ·
Que
les
richesses des Colons sont con~–
sidér~blis ;
mais nous aussi sommes considé~a-(· · ,
blement riches
! ,--~
Que d'apres
cela ,
c'est-'a-- ~
·dire
cette,richesse ' il
importe
que la
députa:..
tion soit
nombreuse ;
mais
d'apr es c<;la ,
la.
not re
-~oit
l'etrn
aussi
».
~( pourquoi don·c
vc;mlez-vous a.dopter
poltr
·Saint-Domingue
une
loi
·plus favorable
q11e
c elle
qur
a'
'fixé
les
députations
de tous ' les
.bailliages
?
De
tous
cotés
nos
provinees
Jéda~eroient cont re cette distinctio~· ; eÍle~.
clem,,an<leroien t
que leur.s cléputations fussent
augmeptées
» .
(., Ce 11.'est pas s,~rns surp rise
que j'ai·entendu,
,·