Previous Page  358 / 476 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 358 / 476 Next Page
Page Background

r

f

( 2.S8

J

ni

de nos

mulets ; qu'ainsi

la

prétention

cÍei

Colonies d'avoir vingt repré~entans, est

abso~

Jument dérisoir,e

».

2º~

J'observe ensuite qu'on

s'ert est

tenua'

ces générali,tés vides d@ príncipes

et

de

s€ns;_

a

vanter

~e

que nous rapporté la Colonie

de

Saint-Do;ningue par sa balancé du commerc€., .,

Les six c~nts millions mis

en

eirculation

par

elle , . les cirtq cens vaisseaux ,

€t

les

2000~

1natelots

qu'elle

oecupe, ~te., etc."·

»

Ainsi l;on n'a

pas

meme

daigné se souve..i ·

níi- qu'il

est

d~montré aujourd'hui que les ré.

sultats des prétendues balances de commerce

.

1

sont erttietement fautifs et insignifians; que

les colonies ,

fusse.nt-

elles d'nne utilité ausst

incontest~ble que l'ont nié ét que le nient les

meilleurs esprits, les tetes les plus fortes

qui

se

soient occupées de ce~ matieres, il ,

est im-_

possible de concevo~r pourquoi elles

réclame–

roient d'a1:1tres príncipes pour la pt oportion

'

' de leurs. représentans, que ceux qúi ont serv¡

a

la :fixation

de

cette proportion dans

toute~

les provin_ces du royaume

»·.

..>>

En

effet, je

supplie

MM.

les diserts

pro...;

d amateurs des six cens inillions , mis dans la

.circu1ation par le

commerce de

-cett_~

Colonie,

(