( 222)
,-
I
la nation' la tutelle du prince' le despotisrne
-
1
des
ministres
».
_«
Cepen.dant, Messirurs, que copclu~ons–
nous de ces tristes vérités
·?
Si-n o,n la néces- -
.sité
de re<loubler de s.agess e et de persévé–
ran~e pour p,arve.nir
a
une constitusion. q1rü
nous
tire d\m état de .
choses
si
déplota,ble ,
1
t.
'
1 .
et ae
propor
rnr,
in.ernot~t?
·emu
ation et
.n~s
. etforts
a:ux ·difficultés de
cette
entr-eprise su–
blime
sa·11s
do.l!lt e .,
mais
simple , et
.qui
ne d~–
mande
qu_e
le
concours
des lumiercs et de
la
Sl.).ite
dans
les
~olontés ; car e'
est aux
dévelop~
pemens
·de
Ja -raiso-n
que
la
nature
a
rerµi~
la
destiné_e é:ter.nelle ,des sociétés; _et
la
raisort
seule pe:u.t fai r e des loi.x ob.ligatoires et dura–
bles; ,
et
la raison
et
la loi seules
doiy.en~,gou-
-v,erner l'homme ef! société
~
...
" Espénnís done , Messieurs , lo.in .de no.us
·
décot-irager"
et
marchons d'un
pas ferme vers
un but qui
ne
sauroit ~o,us échapper
>_.,
•
,( Mais toutes les ,voies
de
dou.ceur ·sont
épuisée·s , toutes les éonférences sont finies ,
il
ne nous reste que des pa.rtis décisifs et peut-
"
"
E
"
1
h
1
M
.
et),"e
extremes ...
"xtrem~s.
o
. non,
ess1eurs,
la
justice et la vér.ité sont toujours dá.ns un
sage
milieu :
lgs
partis
1
extremes
ne
sont
ja-
.
~
m§<iSque
les
derni~res ressGur.ces <lu dé.sespoir;