VARIANTES
D' ALZIR.E.
I
Én1TION
de
1738:
En chrétien vertueux change tous ces héros.
2
Ibid.
Méritez , s'il se peut,
un amour
~i fidele.
a
Ibid.
J'ai promis, il suffit; que t'importe aquel dieu?
NOTES..
(1)
A
PRES
ces mots, on lisait dans l'édition de
173,8:
<(
L''auteur ingénieux et digne de beaucoup de considération
(( qui vient de travailler sur un sujet
a
peu pres semblable
~
ma
<(
tragédie, et
qui
s'est exercé
a
peindre ce coliltraste des mceurs
. <(
de l'Europe et de celles du 'nouveau monde, matiere si favo–
<(
rabie
a
la poésie ' enrichira peut-etre le théatre de sa piece nou–
(( velle. Il verra si je serai le d.ernier
a
lui
applaud.ir, et si un in–
<<
digne amour-propre ferme mes yeux aux beautés,d'un ouvrage.»
Cet auteur est M. Le Franc de Pompignan. Voyez, dans la partie
littéraire des ouvrages en prose , les pikces relatives aux querelles
de M. de Voltaire et de M. Le Franc.
(2)
Ce mouvement est une imitation heureuse de ce ver-s du
quatrieme livre des
Géorgi,ques
de Virgile:
·
Jn¡,alidasque tibi tendens, heu, non .tua, pabnas
!
(3) C'est le mot du duc de Guise, non
a
Poltrot qui l'assassina,
mais
a
un protestant
qui
avait formé ce projet pendant le siege
de Rouen. Ce mot n'était qu'un trait d'hypocrisie dans un homme
qui , sous le prétexte de défendre la religion, avait immolé
a
son
ambiti\:)n tant de victimes innocentes.